Bonjour,
mon père est décédé le 28/11/1988 et ma mère a pu profiter des avantages liés au mariage sur le régime de la communauté de biens réduites aux acquêt pour déjà récupérer la moitié des tous les biens acquis par la signature de mes deux parents. Mais ma mère a été très prévoyante dans le sens où cet achat tardif à l'âge de 53 ans pour mon père, elle lui a collé toutes les nouvelles charges à devoir payer sur ses seules épaules. Et mon père, qui était petit fermier avant sur 70 h, a perdu dans le projet de vente, déjà 20 hectares que le propriétaire a repris pour exploitation personnelle et donc 20 hectares de moins pour dégager des ressources pendant que les charges, elles, elles flambaient en face. Ma mère n'est pas allée chercher un travail à l'extérieur pour ramener dans le foyer familial un salaire payé au smic pou aider mon père à faire face au paiement des lourdes charges de remboursement annuel pour la somme de 85000 frs chaque 15 octobre et il y a aussi le reste dont je n'ai pas connaissance parce mes parents ont eu cette conduite toute notre vie de nous faire subir leurs décisions mais de ne jamais nous dire la vérité, par orgueil. Et elle a eu aussi cette prévision de convaincre mon père de lui signer une donation au dernier vivant le 20/05/1987 et mon père est parti en 5 mois d'un cancer du pancréas le 28/11/1988. Ma mère est monté sur le trône des "quasi pleins pouvoirs" en devant " très à l'aise financièrement. les comptes ouverts au nom de mon père ont été clôturés et tous les avoirs ont été accaparés par ma mère alors que le décès de mon père a provoqué le démembrement de la propriété avec l'usufruit d'un côté et la nue propriété de l'autre. Et je remercie Napoléon BONAPARTE d'avoir rédigé le code civil qui vient protéger les enfants et dont les héritiers des parents " toxiques" comme l'est ma mère. Elle a toujours été depuis nos naissances, très traumatisée par ce que sa propre mère a exigé d'elle jusqu'à son mariage qui l'en a délivrée. Etre née fille dans une famille d'agriculteurs où il y aura 8 enfants vifs; 5 filles, 3 garçons dont 2 seront hémophile et avec le père, mon grand père mutilé des deux talons d'Achile et donc handicapée physique parce qu'en cultivant ses terres, il a sauté sur un obus qui a explosé sous son poids, n' a pas été facile. Ma mère n'est pas l'aînée de la fratrie mais la seconde ùais elle deviendra l'aînée puisque sa grand soeur Monique va attraper la polio et va en mourrir. Ma mère a tout collé sur les seules épaules de mon père et si c'est lui qui a fait les semis en octobre 1979, c'est ma mère qui a tout récolté à son décès. Et avec cette donation au dernier vivant, on est ma soeur, placée sous curatelle ( schizophrénie à la suite d'un banal accident de voiture en 1982) et moi à la merci de cette revanche de notre mère qui a toujours refusé de nous donner notre part depuis le départ de notre père. C'est par pure jalousie de ne pas être l'entière et seule héritière de mon père qu'elle se conduite ainsi. Tous les sommes que mon père venait de toucher suite à la cession d'exploitation ont basculé sur des comptes d'épargne bine évidemment ouverts au nom et prénom unique de ma mère et pas d'une indivision. Le notaire chargé d'établir le document de cette succession là qui doit être déposée dans les 6 mois suivants le décès, ne nous a rien révélées de nos droits civils à exiger de notre mère à ce moment ci crucial pour elle qu'on était en droit d'exiger notre part. J'ai de gros soupçons d'honnêteté de ma propre mère sur le sujet et je le suspecte même d'être allée toute seule voir le notaire avant et qu'elle lui a demandé ce qui risquait d'arriver et le notaire a du lui dire alors qu'on pouvait refuser de signer cette succession et exiger le paiement de notre part et que le partage des biens ait lieu alors. Ma mère a du le payer pour acheter son silence ou le menacer d'aller en voir un autre s'il ne se taisait pas sur nos droits à réclamer notre part.
Ma question est, puisque j'ai les preuves que ma mère s'est servi de mon père comme "d'un mulet" en lui collant toutes les nouvelles charges " extraordinaires" sur ses seules épaules à lui, à compter de la signature de cet acte d'achat là en octobre 1979, puis-je demander l'annulation du mariage au motif que ma mère n'a pas porté assistance financière à mon père en n'allant pas travailler à l'extérieur, en ne contribuant pas aux surplus de charges qu'elle lui a collé sur son seul dos et donc pas de soutien physique, financier et même humain en fait envers son mari ? Si le mariage est annulé, la donation au dernier vivant aussi et je pourrais obtenir le partage des nombreux biens auquel ma mère refuse de procéder et ellle, elle n'aura plus rien du tout. C'est tellement facile en s'étant mariée avec un homme qui est le seul à apporter de l'eau au moulin du ménage et donc à dégager des revenus pour tenter de payer les nombreuses charges, de mettre le grappin sur tout cet héritage là. Et des femmes comme ma mère, il y en a énormément. Elles font de leurs enfants " les pires ennemis du monde les accusant de vouloir les dépouiller mais en fait ce sont elles qui ont fait main basse sur les biens de leurs enfants parce qu'elles rejettent en bloc ce que le code civil dit que "au décès d'un des deux parents, ce sont les enfants qui héritent" et cela, c'est intolérable pour ma mère qui avec cette donation a transformé cette donation en véritable don. Ma mère est ainsi depuis son enfance et toutes les violences et frustrations qu'elle a subies avec sa propre mère. Vous imaginez le conflit incroyable sur la " gestion de cette indivision" et je suis la seule à contester cette gestion là. Elle nous fait subir son despotisme et son désir de revanche depuis le départ de mon père. Elle a du attendre 55 ans que son tour arrive et on devra attendre sa mort pour que nos biens nous reviennent. C'est aller très loin dans la connerie humaine. Ma mère fait l'économie pour son budget du poste très coûteux de l'entretien courant du patrimoine et comme elle s'est servi pour ça de moi pendant déjà 19 ans de trop et que j'ai compris qui elle était en fait, je suis partie vivre loin d'elle et de sa méchanceté de toujours. Et depuis elle a tout laissé dépérir à tel point qu'il y a péril pour les toitures qui menacent de s'effondrer et que pour tout réparer il y en a pour plus de 128000 € à présent à cause de sa cupidité, de sa bêtise humaine, de sa sénilité sans doute. Elle a du endosser beaucoup trop jeune le rôle de 2nde maman à devoir torcher le derrière des 4 plus jeunes chez elle et ça a provoqué chez elle cette écœurement pour toujours vis à vis des enfants. Elle nous a refilé petites à des nounous pour ne pas nous avoir dans ses pattes. Elle a un coeur de pierre et rien ne peut l'atteindre. J'ai beosin d'aide parce que je n'étais pas prête à subir cela. Ma mère a eu 84 ans le 12/09/2017 et elle a trouvé un avocat vicieux qui lui a fait déposé une plainte avec constitution de partie civile contre moi, l'effrontée et j'ai du répondre en correctionnelle de mes courriers de mise en demeure pour obliger ma mère à faire les travaux d'entretien qui lui incombe mais aussi pour organiser à l'amiable le partage et elle et lui ont tout détourné en harcèlement moral et en violences épistolaires. Je suis fonctionnaire et j'ai bien tremblé de perdre mon travail. J'ai du subir une expertise psychologique et cet avocat, une fois ce rapport entre ses mains vicieuses de sale pervers qu'il est, il a tenté d'obtenir une expertise psychiatrique mais le juge l'a envoyé baladé sur les roses et a établi une ordonnance de " refus de complément d'enquête " en ayant lu le rapport et je lui dois mon salut à ce juge là ( pas comme au juge BURGAUD parce qu'avec lui, je serai en train de crever au fond d'une cellule dans un hôpital psychiatrique). Ma père a pu toucher sa part d'héritage après le décès de ma grand mère maternelle en mars 1989, en s'associant à ses 4 soeurs et ses 2 frères pour obtenir la mise sous tutelle par un juge de son frère JEAN. L'argent rend vraiment moche en famille. Et parce que moi, je refuse de donner ma signature à ce monstre qu'est ma mère pour la vente des 47 ha de terres au fermier ou à d'autres tiers et que ma mère, ça la prive de pouvoir toucher sa part qui est déjà de la moitié + 1/4 de la part de mon père et aussi le % de son usufruit et donc bien plus que la mienne et celle de ma soeur, cet avocat a tenté de me faire interner en fait et j'ai du subir une expertise psychiatrique et le psychiatre à la retraite devant lequel je suis passé, ça l'a fait sourire mais pas moi. Parce que j'ai pris alors en pleine face que ma mère était vraiment dangereuse et prêt à tous les vices pour pouvoir vendre ma part en se passant de ma signature. J'ai obtenu un NON LIEU. Parce que la justice ne lui a pas donné satisfaction, ma mère a eu la malice de faire lire ce rapport d'expertise psychologique à mes enfants, les deux aînés, partis de mon domicile et qui ont pitié de leur unique grand mère qui se fait passer pour une victime alors que c'est elle le bourreau. Et cela a provoqué la rupture des relations de mes enfants envers moi. Mon fils aïné a pris peur et me considère comme une malade mentale et dangereuse. Il m'a dit dans un de ses mails que sa seule peur était que ma maladie bizarre ne se réveille un jour chez lui. Ca fait 55 ans que je subis la " folie " de ma mère du aux nombreux traumatismes que ma mère a vécus à devoir grandir et vivre ainsi aux ordres de ma grand mère. Ma grand mère en ayant perdu son aînée, n'a pas du être tendre envers les suivants et même reprocher à certains d'être là et pas malade et d'avoir perdu sa première fille. Et ma mère a vécu cela comme un abandon et elle a subi cette charge extraordinaire physique de " devenir maman " à peut être seulement 5 ou 6 ans alors qu'elle n'avait rien demandé et les enfants ont été pour elle qu'une source à problème depuis, dont il faudrait qu'elle se protège et c'est ce qu'elle a toujours fait. Pas de tendresse, pas d'attachement ni avec ma soeur, ni avec moi. Ma mère est une femme de " marbre" et il n'y a rien d'autre dans sa vie que le " pognon". Elle n'avait rien de sa naissance jusqu'à ce que mon père construise tout par son engagement à 53 ans. Les soucis d'argent à compter d'octobre 1979, puis ceux en raison de l'accident de voiture de ma soeur et l'internement qui en a résulté ont eu raison de " la quiétude qui régnait dans ma famille" avant cet achat là. Ma mère est méchante et dangereuse et c'est le psychiatre que je suis allée consulter dans le même CMP où va ma soeur en voir un autre, qui m'a donné le conseil de partir suffisamment loin de ma mère et aussi de mon unique soeur, qu'elles me feraient descendre au fond du trou sinon. Je l'ai écouté et j'ai trouvé une petite maison dans l'Yonne. J'ai coupé moi-même la dépendance que ma propre mère avait créé en refusant de me signer un bail ou de renoncer à son usufruit qui lui sert de moyen de chantage en fait sur moi et sur ma soeur. De dominée pendant 25 ans auprès de sa mère, ma mère portait déjà la culotte avec mon père et le fait que nous soyons que deux enfants le prouve que c'est elle qui a imposé à mon père quand auraient lieu les rapports sexuels pour obtenir nos naissances. Elle n'avait ni le préservatif, ni la pilule à disposition pour éviter des grossesses pas désirées. Ca a été le régime de " l'hôtel des culs tournés" comme me l'a dit imagé une collègue. Et donc mon père n'a pas été souvent à la noce avec ma mère. Et la méthode Eugino, je n'y crois pas une seul instant parce qu'avec moi, ça n'a pas fonctionné du tout. C'est dans la tête des femmes en fait et psychologiquement, il peut y avoir des blocages qui vont interdire toute gestation. Que me conseillez vous de faire parce que je suis épuisée de ce fardeau là et de subir la mythomanie en plus de la paranoïa de ma mère. Elle a détruit les relations entre ma soeur et moi et depuis 10 ans ce sont les relations avec mes propres enfants qu'elle a détruites tellement elle est méchante et toxique.
Fany
Merci de vos réponses
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