Seule Specialiste à l'Ile de la Réunion en droit de la famille, droit des personnes et droit du patrimoine suivant certificat de spécialisation obtenu le 8/12/2021 ;
Je suis avocat depuis maintenant pratiquement 24 ans (prestation de serment en 1998);
Par respect pour mon grand oncle Avocat, mon arrière Grand-père Notaire, ainsi que mes aieux, et mon grand -père Greffier : c'est avec passion que je défendrai sans faillir mes clients. Cette passion est sanguine ( car je hais l'injustice ) mais aussi nécessaire pour mener à bien notre métier d'avocat. C'est sans jamais perdre vos intérêts de vue que je chercherai la solution adéquate . Je serai fière et heureuse de vous faire gagner et espérer à nouveau.
A bientôt.
Maitre Vanessa ABOUT
Je suis l'avocat de deux grandes sociétés d'économie mixte à la Réunion, et traite ainsi ce type de contentieux, si ce n'est quotidiennement, nécessairement de façon hebdomadaire. Notre cabinet gère ces questions avec une expérience requise de plus de vingt ans (mon associé et moi même) et est intervenu dans des dossiers contentieux délicats ou importants, concernant les expulsions des locataires commerciaux , concernant les locaux commerciaux d'enseigne commerciales de notoriété nationale notamment pour le compte de fédérations nationales professionnelles, concernant les baux commerciaux des centres commerciaux ou encore ceux concernant des professions réglementées (ex : professions médicales : pharmaciens, agences immobilières, etc.) ou encore dans la cadre de la franchise, etc. Notre cabinet gère non seulement les cessions de baux commerciaux mais également les cessions de fonds de commerce.
J'ai l'habitude de négocier dans ce type de contentieux plutÃ't que faire trancher les litiges par un juge. Il faut veiller dans le bail commercial : à sa portée, à sa preuve et à sa durée. Elle souligne qu'il faut posséder un document écrit. Dans le contrat du bail commercial, le commerçant doit être attentif au montant du loyer, à son l'indice, au pas de porte, et aux engagements réciproques. Il faut aussi se méfier des clauses expresses et du montant d'augmentation éventuel du loyer lors de son renouvellement. J'ajoute qu'il faut calculer le montant des charges et vérifier l'existence d'une clause permettant au locataire de changer d'activité au cours du contrat de location si le commerçant le souhaite. Un commerçant ne souhaite pas forcément exercer la même activité professionnelle pendant douze ans. Le bail commercial assure également la location de l'immeuble et du parc d'entretien. ... tout cela se négocie...
il s'agit de procédures parfois longues et techniques qui justifient ces honoraires. Pour la plupart des litiges, c'est le Tribunal TGI qui est compétent, ce qui vise les litiges portant sur : le congé ; le renouvellement du bail ; le montant de l'indemnité d'éviction ; la déspécialisation ; la résiliation du bail ; les demandes portant sur la fixation des loyers et directement liées aux actions précédentes. Par exemple, un locataire qui conteste l'application de la clause résolutoire et qui en profite pour demander une révision de son loyer. La procédure débute par une assignation, c'est-à-dire par une convocation de l'adversaire devant le tribunal du lieu de situation des locaux. Celle-ci est délivrée par un huissier de justice. Mon assistance sera ici obligatoire.
Plusieurs procédures de ce type sont à mon actif, voire même des changements de prénoms ensuite de modifications chirurgicales sexuelles. L'article 60 du code civil nous guidera " Toute personne qui justifie d'un intérêt légitime peut demander à changer de prénom. La demande est portée devant le juge aux affaires familiales à la requête de l'intéressé ou, s'il s'agit d'un mineur ou d'un majeur en tutelle, à la requête de son représentant légal. L'adjonction ou la suppression de prénoms peut pareillement être décidée. " En conséquence, il est nécessaire de justifier d'un intérêt légitime comme par exemple: l'usage d'un prénom différent depuis plusieurs années, lorsque le prénom seul ou cumulé avec le nom est ridicule, lorsque le prénom est ancien, lors d'un changement de religion, lorsque le prénom est d'origine étrangère, etc. Ces affaires se plaident et ne sont pas automatiques. Notre cabinet s'occupera de vous à tout moment de cette procédure de changement de votre prénom : Nous rédigerons immédiatement votre requête devant le juge aux affaires familiales afin de changer votre prénom. La requête devra justifier la raison qui motive cette demande (consonance étrangère, prénom ridicule ou ancien, usage prolongé, etc.). Après avis du Procureur de la République, le Juge aux affaires familiales rendra sa décision.Nous nous occuperons ensuite de l'ensemble des formalités de transcription sur votre état civil.
ce forfait est nécessaire car ce type de procédure n'est pas automatisé. Que comprend ce forfait ? Une assistance téléphonique Rendez-vous client Rédaction de votre demande Recherches des justificatifs Saisine du juge aux affaires familiales. Notre assistance et notre représentation devant le Tribunal. Nos tarifs sont forfaitaires incluant ainsi toutes les charges , à l'exception des frais des timbres fiscaux (35 eur) et des frais de publication.
CELA FERA DONC 24 ANS QUE JE PRATIQUE LE DROIT DE LA FAMILLE, LES DIVORCES NOTAMMENT.
JE SUIS LA SEULE SPECIALISTE EN DROIT DE LA FAMILLE DROIT DES PERSONNES ET DE LEUR PATRIMOINE À LILE DE LA RÉUNION ;
JE VIS MES AFFAIRES PLUTÃ"T QUE JE NE SLES SUBIS : J'AIME ENTREVOIR LA SOLUTION, CHERCHER ENSEMBLE LA FAILLE ET AMENER MES CLIENTS VERS DE MEILLEURS MOMENTS. mon Cabinet a vocation à plaider sur la Réunion entière dans des domaines aussi divers que variés en matière de divorce et de droit de la famille : Droit de la famille Divorce: Les quatre types de divorce sont traités et maitrisés Divorce - contentieux après divorce (enfants, pension alimentaire, prestation compensatoire) Séparation de corps : sur requête conjointe ou contentieux contentieux de la filiation (action en contestation de paternité, reconnaissance de paternité) modalités d'exercice de l'autorité parentale voici donc le contentieux du divorce traité et toutes ses variantes ainsi que tout ce qui gravite autour du divorce.
Il ne faut jamais penser que cette audience est simple. En effet, cette audience est aussi pénible que complexe. Les formalités et procédures à connaître avant d'envisager une séparation le sont également : aussi cette procédure nécessite plusieurs heures de préparation avant d'être prête ; Les démarches et formalités à accomplir pour divorcer sont assez différentes selon l'état d'esprit des conjoints et leur degré d'entente... Mais quelle que soit la procédure engagée, l'intervention de l' avocat est toujours obligatoire.
cette deuxième audience est technique et doit être travaillée au maximum. En effet, lorsque les époux sont en désaccord, sur le principe du divorce, mais également sur ses conséquences, il est souvent nécessaire d'engager une procédure de divorce pour faute. Nous veillons à ce que le juge prononce le divorce aux " torts exclusifs " d'un des époux ou aux " torts partagés ". Il peut parfois refuser de prononcer le divorce s'il estime que les fautes ne sont pas suffisamment graves. Cette procédure est c elle que l'on appelle " conflictuelle", chacun des époux cherchant à prouver la responsabilité de l'autre (témoignages, lettres, etc.) pour obtenir le plus d'avantages possibles (prestation compensatoire, pension alimentaire, voire dommages et intérêts).
ce n'est pas parce qu'il y a acceptation du divorce que plus rien ne se plaide : les conséquences du divorce doivent être étudiées avec minutie (enfants : avec qui?comment?où? prêts : qui paye?comment? etc) Cette procédure peut être utilisée lorsque les époux sont d'accord pour divorcer mais ne parviennent pas à s'entendre sur les conséquences de la séparation. L'avocat de l'époux demandeur adresse une requête initiale au JAF. Outre les différents renseignements administratifs nécessaires, cette requête précise les mesures provisoires envisagées pour régler les relations entre les époux pendant la procédure. Y compris, en cas d'urgence, une demande de résidence séparée et de préservation des biens communs. Le juge convoque les époux pour une première audience où il les entend séparément, puis ensemble, puis avec leurs avocats, l'objectif étant de concilier les points de vue sur le principe du divorce et les modalités de la séparation. Il peut donner aux époux un délai supplémentaire d'au plus huit jours, fixer une nouvelle audience de conciliation dans les six mois ou, cas le plus fréquent, rendre une ordonnance de non-conciliation autorisant les époux à divorcer. Ces décisions ne peuvent faire l'objet d'appel. Il peut également prendre des mesures provisoires organisant la vie des époux pendant la procédure (attribution du logement, désignation d'un notaire, etc.), les époux pouvant faire appel de ces mesures dans les quinze jours.
Sur ce type de procédure également : rien ne doit être laissé de cÃ'té. Dans les trois mois qui suivent l'ordonnance de non conciliation étudiée supra , l'époux demandeur délivre une assignation à son conjoint (rédigé par son avocat et remise par un huissier) précisant la forme de divorce choisi (accepté, pour faute ou pour altération du lien conjugal) et ses différentes exigences (montant de la pension alimentaire, résidence des enfants, etc.). Passé ces trois mois, si l'époux demandeur n'a pas encore réagi, son conjoint peut enclencher lui-même la procédure. Une fois qu'il a reçu cette assignation, l'époux en cause fait rédiger une réplique argumentée par son avocat et la transmet à son tour au juge. A la lecture des argumentaires et demandes de chacun, celui-ci fixe une audience pour entendre les plaidoires de deux avocats et rend son jugement, environ un mois plus tard. Une fois informés de ce jugement, les époux ont un mois pour faire éventuellement appel de la décision. Passé ce délai, le jugement de divorce est mentionné en marge de l'acte de mariage et de naissance des époux.
malgré les facilités apparentes, un minimum est requis. C'est la forme la moins pénible de séparation, mais elle suppose que les époux sont d'accord sur toute la ligne, non seulement sur le principe du divorce mais aussi sur toutes ses conséquences. Ils n'ont nul besoin de préciser les raisons de leur décision, ni aucun témoignage à fournir. L'un des avocats va rédiger une " requête ", signée par les deux époux et l'autre avocat. Adressée au Juge des Affaires Familiales (JAF) du Tribunal de Grande instance, elle comporte les renseignements administratifs nécessaires ; un projet de convention réglant les conséquences du divorce ; un acte de liquidation du régime matrimonial (liste et sort des biens à partager avec intervention obligatoire d'un notaire en présence d'immeubles). Une fois saisi de cette requête, le JAF convoque les époux pour l'audience de conciliation. Il les reçoit séparément, puis ensemble, pour vérifier la réalité du consentement. Il modifie éventuellement les termes du projet de convention pour préserver l'équité des rapports et l'intérêt des enfants. Il rend ensuite un jugement et homologue le divorce. Il peut aussi refuser d'homologuer la convention et rendre un jugement d'ajournement. Les époux ont alors six mois pour modifier en conséquence la convention.
Cette première audience est importante tant les enjeux le sont. Cette procédure permet d'obtenir un divorce malgré l'opposition de son conjoint et l'absence éventuelle de fautes. Elle ne peut être engagée que s'il y a rupture volontaire de la vie commune depuis au moins deux ans à la date de l'assignation. Pour autant nous savons à notre office diligenter et guider ces procédures en computant pour vous les délais de rigueur.
c'est durant deux années que votre dossier sera à mon cabinet et j'aurai à coeur de vous guider. La procédure est identique à celles pour faute ou sur demande acceptée. L'époux qui " subit " la procédure ne peut s'opposer au divorce mais il peut obtenir des dommages et intérêts s'il subit un préjudice matériel important sans être " fautif " pour autant.
24 années de procédures de licenciement souvent injustes marquent et me déterminent à continuer le combat contre l'injustice; Je peux affirmer que é licenciements sur 3 sont illicites : il faut donc avoir la foi et lutter.Le licenciement abusif En droit du travail, le licenciement est la rupture d'un contrat de travail à durée indéterminée à l'initiative de l'employeur. Il s'oppose à la démission ou à la prise d'acte de la rupture qui permet au salarié de rompre le contrat de travail à son initiative. Il diffère également de la rupture conventionnelle, qui est une procédure permettant au salarié et à l'employeur de convenir en commun des conditions de la rupture du contrat. Les motifs susceptibles d'être invoqués par l'employeur pour justifier le licenciement d'un salarié sont nombreux. Le licenciement pour motif personnel Les plus fréquents concernent la personne du salarié, qu'il s'agisse de manquements disciplinaires, de fautes professionnelles, d'une insuffisance professionnelle ou encore d'une inaptitude physique. On parle alors de licenciement pour motif personnel. Cependant, la décision de rompre le contrat de travail ne doit jamais être arbitraire. Les juges contrÃ'lent a posteriori que le licenciement repose sur une cause réelle et sérieuse. La cause du licenciement est réelle : - si elle présente un caractère d'objectivité, c'est à dire qu'elle doit se traduire par des éléments extérieurs susceptibles de vérification, - si elle est existante, les faits présentés comme motif de rupture existant réellement, - si elle est exacte et ne constitue pas un prétexte pour dissimuler une cause inavouable. La cause sérieuse s'entend quant à elle d'une cause revêtant une certaine gravité qui rend impossible sans dommage pour l'entreprise la continuation du contrat et qui rend nécessaire le licenciement. Un licenciement dont le motif se révèle inexact, subjectif ou constitue un prétexte pour dissimuler une cause inavouable est déclaré abusif. Par ailleurs, l'employeur est tenu d'apporter des éléments de preuve permettant d'établir le bien fondé du licenciement. Si un doute subsiste, il profite au salarié. En outre, le licenciement doit reposer sur un motif licite. Ainsi, est jugé abusif le licenciement d'un salarié qui a refusé de travailler dans des conditions irrégulières ou non conformes à son contrat de travail, pour des faits relevant de sa vie privée ou encore, en raison de son état de santé, de son âge, de sa situation familial etc? Enfin, même si le licenciement est fondé sur un motif réel et sérieux, les circonstances de la rupture peuvent être sanctionnées par les tribunaux. Il en est ainsi lorsque le licenciement est exercé avec une intention de nuire, de façon brutale, vexatoire ou injurieuse. Le licenciement pour motif économique L'employeur peut encore rompre le contrat de travail pour un motif non inhérent à la personne du salarié mais pour des raisons économiques. Il s'agit du licenciement pour motif économique. À l'inverse du licenciement pour motif personnel, qui est nécessairement individuel, le licenciement économique peut être individuel ou collectif, et suit une procédure variable selon le nombre de salariés licenciés, la taille de l'entreprise, et l'existence d'institutions représentatives du personnel. Le licenciement pour motif économique doit également reposer sur une cause réelle et sérieuse. Pour être considéré comme tel, l'employeur doit justifier de réelles difficultés économiques, de mutations technologiques, de la nécessaire réorganisation de son entreprise ou de la cessation définitive de son activité. L'employeur doit encore démontrer que la situation économique impose une suppression d'emploi, une transformation d'emploi, ou la modification d'un élément essentiel du contrat de travail refusée par le salarié. Enfin, l'employeur doit impérativement rechercher tous les possibilités de reclassement du salarié dans un autre emploi compatible avec ses capacités. A défaut, le licenciement pour motif économique sera jugé sans cause réelle et sérieuse.
souvent une négociation bien menée sera plus enrichissante à tous points de vue qu'un procès.Le départ négocié Le départ négocié permet à l'employeur et au salarié d'échapper aux règles régissant le licenciement et la démission. Il n'est pas une construction juridique propre au droit social. Ses effets sont réglés par les dispositions du droit commun, et en particulier celles de l'article 1134 du Code civil lequel prévoit explicitement la révocation des conventions par consentement mutuel. La Jurisprudence a parfaitement reconnu la validité de la rupture d'un commun accord du contrat de travail à durée indéterminée, que cette rupture soit liée à un motif personnel ou non. Elle considère en effet que si le contrat de travail à durée indéterminée peut être rompu par décision unilatérale de l'employeur (licenciement, mise à la retraite) ou du salarié (démission, prise d'acte, résiliation judiciaire, départ volontaire à la retraite), il peut également cesser de par la volonté commune des parties. L'employeur et le salarié peuvent ainsi se mettre d'accord sur le principe du départ ainsi que sur les conditions de ce départ. On préfère à présent à ce mode de rupture négociée, certes, la rupture conventionnelle que je pratique également.
cette audience peut tout voir basculer : je serai prête dès ce moment sur le fond de mon dossier : 1 dossier sur 10 se règle à ce moment procédural précis. quelques explications : Le bureau de conciliation est composé d'un Président et d'un assesseur (un représentant du collège employeur, un représentant du collège salariés) assistés d'une greffière. Nous sommes reçus dans un bureau à part. L'audience de conciliation n'est en effet pas publique. les conseillers poseront alors des questions relatives au contrat de travail et à sa rupture (nature de votre contrat de travail, date de la lettre de licenciement, effectif de l'entreprise etc?). On évoque brièvement le litige. Le Président demande ensuite à l'avocat de votre employeur et lui même s'il est, si ils sont, prêt(s) à concilier. Si une conciliation intervient (par exemple votre employeur s'engage à vous verser des dommages et intérêts à hauteur d'un montant qui vous satisfait), un procès-verbal de conciliation est dressé et l'affaire est close. En cas d'échec, le bureau de conciliation renvoie l'affaire devant le bureau de jugement et fixe une date d'audience et une date de communication de conclusions et pièces à chacun des avocats.
les procédures sont longues mais mon expérience démontre que je suis rigoureuse et toujours dans les temps voire même en avance : pour que le temps ne vous échappe pas plus ! La justice est un labyrinthe où les non-initiés peuvent vite se perdre. Je peux aujourd'hui affirmer que le succès d'une affaire dépend souvent de la qualité des conclusions (exposé des faits et du droit par rapport au litige) mais là encore il s'agit d'une technique particulière que seule maîtrisent les avocats dont c'est le quotidien et qui ont de l'expérience. La plaidoirie quant à elle est un art qui fait appel à des réflexes que seule la pratique, l'endurance et l'ancienneté permettent d'acquérir. Elle a un rÃ'le majeur au Conseil de prud'hommes. J'aime cette facette de mon métier... car il devient ici un art manifeste.
négocier cÃ'té patronat est souvent de mise et nécessaire : je sais le faire. Nous vous informerons alors et vous conseillerons pour parvenir à un accord avec votre salarié en cas de litige ou de contestation, convocation à l'entretien préalable avec ou sans mise à pied à titre conservatoire ; Nous préparerons ensemble le contenu du dossier, voire la rédaction d'un protocole d'accord entre l'employeur et le salarié ; Mes conseils portent également sur la tenue de la procédure de licenciement souvent bâclée par les employeurs ce qui est parfois IRREPARABLE ! mes conseils portent sur : la : Rédaction de la lettre de convocation à l'entretien préalable avec ou sans mise à pied à titre conservatoire la : Préparation du dossier pour l'entretien préalable la : Rédaction de la lettre de licenciement
c'est souvent dur mais j'arrive à trouver la faille; les documents que je dois avoir sont : - votre Kbis - Contrat de travail - Fiches de paie - Lettre de convocation à entretien préalable - Lettre de licenciement - Attestation ASSEDIC - Solde de tout compte - Certificat de travail - Courriers échangés entre l'employeur et le salarié
Offre et délai minimum transmis par un avocat sur Alexia.fr au cours des 30 derniers jours dans au moins une région.