J'ai choisi cette profession après avoir été quelques années salarié (dans une banque puis une compagnie d'assurances).
Mon choix a d'abord été guidé par la volonté d'être indépendant, ce que la position de salarié n'offre que rarement ou difficilement.
Ensuite, et pour avoir déjà travaillé, j'ai souhaité avoir un métier me permettant une grande variété d'interventions, tant :
. dans les domaines d'activités (du droit de la famille au droit social en passant par le droit des contrats et le droit commercial)
. que des moments d'intervention (du conseil en amont à la mise en place d'une stratégie (en défense ou en demande) que dans l'immédiateté.
Après quelques années fructueuses de collaboration, j'ai voulu créer ma structure.
J'ai choisi de m'implanter en périphérie de ROUEN, là où il n'y avait pas encore de cabinet d'avocats et dans un souci de proximité.
J'ai travaillé seul, puis avec un collaborateur (presque 10 ans) puis de nouveau tout seul depuis quelques années, toujours secondé par une secrétaire.
J'ai également ajouté à mes domaines d'intervention celui de la médiation (judiciaire ou conventionnelle) ; je suis membre "actif" du Centre de Médiation du Barreau.
La médiation me semble une voie particulièrement intéressante à emprunter et promouvoir puisqu'elle permet aux parties de réapprendre à dialoguer et ainsi pouvoir élaborer la solution qui leur paraît la meilleure... plutôt que de s'en remettre au Juge et subir l'aléa judiciaire.
Il s'agit encore d'une part résiduelle de mon activité d'avocat.
J'ai toujours eu depuis ma prestation de serment une activité contentieuses ou de conseil / rédaction en matière de baux commerciaux et professionnels.
Je réalise également des cession de fonds de commerce.
Le droit de la famille est une activité récurrente du cabinet, ne serait-ce qu'en raison de sa localisation et sa vocation généraliste.
J'essaie de privilégier une approche pragmatique et apaisée, sans aggressivité et basée sur la négociation.
cf mon expérience dans le domaine des accidents de la route.
Mon "premier" métier (deux ans et demi en qualité de conseiller bancaire) : une expérience sinon enrichissante, au moins instructive.
Je rattache l'intervention en matière de surendettement au droit bancaire.
J'assiste, là, des clients particuliers ou professionnels dans les litiges - souvent épineux - avec leur banquier (rupture de découverts autorisés, prélèvements de divers frais, contentieux des défaillances de paiement..)
De formation commercialiste, j'ai toujours souhaité conserver ce volet d'activité même si je ne suis pas "spécialisé".
J'assiste mes clients par devant le tribunal de commerce mais aussi au stade du conseil (de plus en plus).
J'interviens autant pour des employeurs que pour des salariés, tant en conseil que sur le plan judiciaire.
J'entends par droit routier le volet pénal de ce Droit...
... encore que récemment, ce sont surtout des recours administratifs contre des décisions refusant l'agrément à une société spécialisée dans les stages de récupération de points qui m'ont occupé.
Ces interventions sont une annexe de mes interventions en droit commercial.
Il s'agit alors d'accompagner - pendant une période particulièrement difficile financièrement et moralement - des clients.
Au delà des prestations purement techniques et juridiques c'est tenter de rassurer et de conforter le/la cliente.
Je pense que les successions sont des moments particulièrement difficiles à gérer car elles sont l'occasion de la remontée à la surface de plein d'émotions... souvent difficiles à gérer... en plus des difficultés juridiques.
Un domaine souvent mal connu et mal géré car les clients viennent souvent - comme en matière de redressement/liquidation judiciaire) trop tard et sont quelque peu épuisés moralement.
Difficile également sur le plan des honoraires.
Il faut pourtant profiter de la procédure de surendettement pour "nettoyer" les créances...
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