Je souhaite vous faire part de ma situation. Embauchée en Octobre 2014 en tant que Directeur adjoint forfait cadre jours, dans un établissement medico social, j'ai eu la mauvaise surprise, lors du retour de congés maternité de la Directrice de Pôle, de subir des pressions et vexations diverses, nuisant à mon état de santé. J'ai donc dû m'arrêter quelques jours et j'ai prévenu par mail ma Direction et le service Rh de ma structure, arrêt confirmé par la production d'un arrêt maladie envoyé par voie postale. J'ai reçu au bout de quelques jours un A/R de L'association qui m'embauche, me disant envisager à mon encontre des mesures disciplinaires pour "abandon de poste " J'ai donc renvoyé une copie de mon arrêt de travail, que j'ai déposé directement au bureau, en présence d'un DP, à qui j'ai fait constater que, outre ce fait, ma session de travail avait été clôturée, m'empechant de réaliser mes missions et j'ai informé mon employeur par Ar de ce constat d'entrave. J'ai alors informé le médecin du travail de ces faits ainsi que le Chsct. Quelques jours plus tard, j'ai reçu un nouveau courrier, me signifiant mon licenciement pour faute grave, sous des prétextes fallacieux faisant référence notamment à une mission non remplie, dans un soi disant temps imparti. Il faut savoir que mon contrat cadre jour, me donne toute latitude et souplesse dans l'organisation de mon travail. J'envisage pour ces faits de me présenter devant le prud'homme pour licenciement abusif
Oui, rassemblez tous les éléments de preuve à votre disposition et contestez la mesure de licenciement, en établissant que celui-ci fait suite à des faits récurrents de harcèlement à votre encontre.
Demandez l'indemnisation de votre préjudice moral et l'allocation de dommages et intérêts pour licenciement abusif, outre les indemnités qui ne vous auraient pas été versées en raison et à l'occasion de la rupture de votre contrat.
Cordialement.
Eduardo de Almeida Costa 2 rue des Dardanelles 75017 PARIS #Adresse email#
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