Bonjour,
juste pour apporter une précision : sous la menace de la CNIL, la banque afini par admettre son erreur et par nous écrire très gentiment qu'en effet le fichage "devait être levé depuis mars 2013" pour mon conjoint et "n'aurait pas du avoir lieu" pour moi, dans une lettre dépourvue d'excuses, mais qui nous informe quand même que la demande de levée d'interdiction a été faite par la banque il y a à peine quelques jours.
Bien, nous voici défichés. Cependant, le préjudice est consommé : notre prêt nous a été refusé et nous avons perdu la maison.
Quelle démarche s'ouvre à nous pour obtenir réparation et quels délais peut-on envisager, sachant qu'à ce stade, la banque -qui ne propose aucun dédommagement même symbolique pour le tort causé et dont elle a connaissance- admet tout de même clairement et par écrit que cette situation était injustifiée ?
il y a 7 ans
Cliquez ici pour commenter la réponse ci-dessus