Bonjour,
Je suis confronté à une aberration par rapport à mon état de santé.
Je suis malheureusement en arrêt de travail, suite à un burnout professionnel, depuis le 20/01/2017.
En 2018, j’ai sollicité mon assurance CNP, pour prendre en charge les échéances de mon prêt immobilier.
La CNP m’a convoqué à une expertise médicale le 12/06/2018.
Suite à cette expertise, j’ai appris que la CNP refusait de me prendre en charge, au motif qu’il estime que je suis apte à reprendre le travail à temps partiel.
Dans ma dernière demande, auprès de la CNP, j’avais demandé une contre-expertise, par un médecin prenant en compte mes pathologies. Celle-ci m’a été refusée, démontrant la non impartialité de la CNP.
Dans le courrier du médecin de la CNP, il est noté que d’après mon bilan polysomnographique, je ressens une véritable amélioration allant ainsi à l’encontre du rapport du docteur GALMACE (spécialiste du centre du sommeil). Le docteur GALMACE, parle le 7 mai d’une asthénie persistante. Le médecin de la CNP, a eu ce document en main. J’ai revu le spécialiste du sommeil le 19 juillet 2018, lui évoquant ma fatigue persistante. Celui-ci m’a expliqué qu’une dette du sommeil peut prendre du temps, avant de s’estomper.
Je rappelle également que je n’ai pas été informé lors de la consultation, avec le médecin de la CNP, d’une possibilité de reprise à temps partiel, révélant ainsi un manque de transparence.
De plus, ce qui est troublant, c’est que le médecin de la CNP a volontairement coché tous les « oui », dans les actes ou gestes pouvant être effectués par l’assuré. Pendant ce RDV d’1/2 heure, je n’ai passé aucun tests physiques et cognitifs.
Je vous informe également que le 8 août 2018, j’ai été une nouvelle fois convoqué par le médecin conseil de la sécurité sociale. Suite à cette visite, aucune reprise n’a été envisagée.
Le 2 octobre 2018, j’ai eu une visite à la médecine du travail. Le médecin a conclu à une inaptitude temporaire, empêchant une reprise de travail, même à temps partiel. Je rappelle que sans un avis d’aptitude favorable, de la médecine du travail, aucune reprise n’est possible quelque que soit le poste de travail et même dans une autre entreprise. Cet examen va de nouveau à l’encontre du rapport du médecin de la CNP.
Le 13 octobre 2018, j’ai dû subir une expertise médicale auprès Medexpert (Pôle d’expertises médicales), prescrite par ma prévoyance (assurance privée). Une nouvelle fois, aucune reprise même partielle n’a été prescrite.
Toutes les visites médicales que j’ai subies, médecin traitant inclus, vont à l’encontre des conclusions la CNP, qui préconise une reprise à temps partiel.
Est-ce que vous trouvez ma situation normale ?
Merci de vos réponses
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