Bonjour,
Cette double qualification est certainement due au fait qu'il existe plusieurs lots distincts sur les biens (un au RDC et un à l'étage ?).
Dans leur base de donnée, seule le RDC serait enregistré à des fins commerciale.
Je vous remercie de bien vouloir cliquer sur le bouton vert "Oui. Merci !" ci-dessous afin d'indiquer que j'ai répondu à votre question.
Bien cordialement,
Antoine Gouin
il y a 3 ans
Bonjour,
Cela ne répond pas totalement à ma question.
Ma question est de savoir si des pièces qui sont au premier étage d'un commerce, qui est compris dans le bail commercial, qui n'a pas d'entrée autonome, dont la superficie a été déclarée dans la révision de toutes surfaces commerciales qui eu lieu en 2013, qui n'ont pas vocation à être habité du fait de cette configuration, qui d'ailleurs ne le sont pas car l'exploitant a sa propre résidence.
Le bail commercial, non mixte, a été établi pour la maison dans sa totalité. Certains exploitants utilisaient ces pièces pour mettre des congélateurs en rapport avec l'activité commerciale, d'autres comme salle de repos, etc Ils ne peuvent par ailleurs pas les sous-louer.
Je viens d'ailleurs de remarquer que les 2 locaux avaient été indiqués au RDC et que la superficie de la dite habitation correspond aussi à celle de la boutique.
C'est incompréhensible
il y a 3 ans
Merci pour votre message. Mais quelle est votre question ? En effet elle n'est pas précisé dans votre message ci-dessus :
"Ma question est de savoir si des pièces qui sont au premier étage d'un commerce, qui est compris dans le bail commercial, qui n'a pas d'entrée autonome, dont la superficie a été déclarée dans la révision de toutes surfaces commerciales qui eu lieu en 2013, qui n'ont pas vocation à être habité du fait de cette configuration, qui d'ailleurs ne le sont pas car l'exploitant a sa propre résidence."
il y a 3 ans
Vous avez raison, je reformule :
Ma question est de savoir si des pièces qui sont au premier étage d'un commerce, qui sont compris dans le bail commercial, qui n'ont pas d'entrée autonome, dont la superficie a été déclarée dans la révision de toutes surfaces commerciales qui eu lieu en 2013, qui n'ont pas vocation à être habités du fait de cette configuration, qui d'ailleurs ne le sont pas car l'exploitant a sa propre résidence, sont à considérer au point de vue fiscal comme un logement autonome.
Si je remplis comme me le propose les impôts un imprimé H1, l'exploitant de la boulangerie ne risque-t-il pas de payer une taxe d'habitation sur ce local qui est pourtant inclus dans son bail commercial.
il y a 3 ans
Bonjour,
En effet la surface semble dépendante de la surface commerciale du RDC et ne peut être exploitée de façon indépendante.
La taxe foncière liée à cette surface doit donc être mise à la charge du locataire comme cela est prévu dans les baux commerciaux.
Aucune taxe d'habitation ne saurait être due sur des locaux commerciaux. Cette surface sera néanmoins soumise à la cotisation foncière des entreprises.
Je vous remercie de bien vouloir cliquer sur le bouton vert "Oui. Merci !" ci-dessous afin d'indiquer que j'ai répondu à votre question.
Bien cordialement,
Antoine Gouin
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