Merci pour votre retour rapide mais pourriez vous svp développer : "il y aura des répercussions" ?
Mon fils est suivi par une psychologue qui l'a apparemment "diagnostiqué" fragile, hypersensible... et "limité". De plus il est encoprétique depuis son enfance et selon les médecins c'est la conséquence de la séparation de ses parents . Nous nous sommes séparés il avait 9 mois.
En toute franchise, je n'ai pas a intervenir et je ne suis jamais intervenu auprès de sa mère dans sa façon d'élever notre fils chez elle même si je n'ai pas du tout les mêmes principes/façons de voir.
A l'inverse, j'aimerai que l'on ne me donne pas de "leçon" quand à ma façon de faire chez moi. Hors ici nous sommes passés, ma femme et moi pour des maltraitants ! J'ai l'autorité parentale oui mais seulement sur le papier, on me demande rarement mon avis sauf lorsque c'est obligatoire mais en fin de compte je constate que si je ne vais pas dans le même sens du vent, j'ai la guerre et les ennuis...
Lors de l'entrevue dernièrement avec mon fils, je lui ai remis un album photos de famille des 10 dernières années pour lui montrer qu'il faisait partie intégrante de la famille et qu'il n'y avait pas seulement que des "remontrances" quand il venait les week-ends ! Il a fait un "reset" de tous les bon souvenirs et à gardé la portion minime du négatif. Que toute les remarques que nous avons pu lui faire ne sont pas pour le rabaisser ou l'humilier mais pour son bien car en définitive ce ne sont que des remontrances du quotidien (hygiène, devoirs, chahut, écrans, etc.)
Je n'ai eu aucune réaction de sa part... seulement en fin d'entretien la question qui m'a laissé sans voix. De plus, il est complétement indifférent à son frère de 6 ans qui lui souffre (sentiment d'abandon incompréhensible) et qui lui vouait un amour fraternel inconditionnel. Je suis pris entre un étau : d'un côté si je ne fais rien, on va me reprocher mon désintérêt et si je fais quelque chose, mon fils va définitivement se braquer. Ou pire on va nous (ma femme est mis en cause également) accuser de mettre en danger mon fils pour mauvais traitements (maltraitance psychologique, pressions morales). En y repensant, cela m'a été sous entendu par sa mère lors d'une conversation téléphonique que j'ai eu avec elle lorsque j'ai décidé d'aller chercher mon fils en avril dernier. Je me souviens vaguement qu'elle m'a dit qu'elle avait un certificat médical... mais je n'ai pas compris de suite. Avec le recul aujourd'hui je pense qu'elle serait capable d'aller dans ce sens, si je devais faire des démarches.
il y a 2 ans
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