Apres de pareils evenements, il ne faut jamais rester passive et replieevsur sa douleur , même si les contraintes familiales ou sociales son souvent un obstacle a ce que la victime fasse le nécessaire.
Independamment des poursuites disciplinaires qui devraient etre sistematiquement engagees dans de tels cas, notamment pour eviter que le professionnel fautif soit puni et ne recidive, la plainte déposée par la victime constitue le début d'une demarche qui lui permettra de faire face au traumatisme subi ,de le soigner et minimiser,tout en contribuantde facon active et citoyenne a la prevention d'actes similaires.
Merci de m'indiquer si j'ai repondu a votre question.
il y a 8 ans
Je n'avais pas posé de question, je voulais juste apporter mon témoignage, peut-être un peu tard, et savoir si elle était allée jusqu'au bout et avait entendue par la profession. J'aurais aimé en parler avec elle mais, depuis, peut-être est-elle parvenue à passer à autre chose. J'ai passé des heures sur internet à chercher des réponses à mes questions, mais n'avais jamais vu ce site. Dans de telles circonstances on est trop souvent seule, même les meilleurs amies ne nous croient pas : si on a laissé faire, c'est qu'un était d'accord....
il y a 8 ans
Bonjour,
Je lis avec intéret les messages ci après étant donné que je prépare un mémoire sur le sujet pour la fin de l'été 2017.
J'aurai tendance à nuancer du coup les propos des avocats. En tant que victime, si au deuxième degré vous avez le département de l'ordre du kiné qui s'associe à votre plainte c'est que celle ci est grave donc que la violence sexuelle est avérée.
Si vous ne vous présentez pas à la conciliation, l'affaire est renvoyée au deuxième degré disciplinaire tout de suite.
Et sachez que si les faits sont avérés et que vous gagnez au disciplinaire cela peut servir pour le pénal et le civil pour réparation.
Mais si l'affaire n'est pas avérée, cela ne signifie pas que le kiné n'a pas enfreint le code de déontologie par une non information ( fréquent dans les touchers rectaux ) ou bien par un non consentement à une pratique ( souvent de la thérapie manuelle ) et donc il doit être puni pour cela par le tribunal disciplinaire de l'ordre des kinésithérapeutes.
Ce qui est sure c'est qu'en tant que victime, dès que le doute persiste sur les agissements de quelqu'un il faut le signaler à l'ordre du département d'exercice ne serait ce que pour qu'en cas de plaintes trop fréquente une vraie enquète soit ouverte.
Quant à la jeune femme qui n'a jamais osé allé au pénal, en l'absence de pénétration, il te reste 13 ans pour porter l'affaire au pénal.
Le courage c'est de ne pas se taire et c'est ce que tu as fait.
PS : si l'une de vous deux veut m'apporter son témoignage pour mon mémoire, je vous laisse mon mail :
kathleen.ch at #Site internet# .
il y a 8 ans
J'ai écrit à l'adresse indiquée ci-dessus, ai juste remplacé "at" par @, cela explique t-il le fait que je n'ai pas de réponse ?
il y a 8 ans
Je vous répondrais aujourd'hui. J'ai bien vu votre mail mais n'est pas eu le temps matériel de répondre encore. Excusez moi.
il y a 8 ans
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