Solution complique: arret maladie pour depression, rupture conventionnel refuse.
Sujet (Cloturé) initié par angelina, il y a 6 ans - 20032 vues
Bonjour,
Je suis actuellement en arrêt maladie pour dépression, j'ai envoyer 2 courriers a mes employeurs suite aux conseils de l'inspection du travail.
Le premier étant pour les prévenir de la situation dans la quelle j’étais c'est a dire : ambiance horrible, critique en continu, je pleurais après chaque service, collègues injurieux et j'en passe. En leur demandant une rupture conventionnel aucune réponse m'a été donné.
Ils étaient au courant de la situation. J'ai du me mettre en arrêt car je me sentais plus capable de continué comme sa. Avant sa j'ai essaye de partir en négociant mais ils ne voulaient car j’étais pour eux un bon éléments.
Sauf que moi je pouvais pas continue a subir, a devoir venir pour remplacer les employer pendant mes vacances , mes repos. Je suis en tort car j'acceptait mais j'avais peur de leur critiques.
Ayant 2 enfants, j'avais réussi a avoir des horaires correctes donc un stress en plus en cas de refus qu'ils me les changent.
J'ai renvoyé une autre demande de rupture conventionnel car l inspection ma dit qu'ils étaient prêt a accepter sauf qu'ils ont attendu d’être en redressement judiciaire pour me répondre et bien sur négativement.
Je ne peux en aucun cas retourné travailler pour eux, démissionné j'y es pensé mais je veux pas leur faire se plaisir la car je pense pas avoir mérité tout les manques de respects, donc je veux trouvé une solution rapide et efficace pour moi et non pour eux.
Tout d'abord, on ne peut pas obliger un employeur à accepter une rupture conventionnelle. Ainsi, si votre employeur la refuse, il faut acter sa décision.
Ensuite, si vous souhaitez rompre rapidement votre contrat de travail, outre la démission, il existe un autre procédé juridique: la prise d'acte. Il s'agit d'un courrier envoyé par le salarié dans lequel vous invoquez des manquements graves de votre employeur et qui rompt le contrat de travail immédiatement.
Par la suite, vous devez saisir le Conseil de prud'hommes pour qu'il examine votre prise d'acte. 2 options: soit il considère qu'elle doit produire les effets d'un licenciement abusif, soit d'une démission.
En l'espèce, votre employeur semble avoir manqué à son obligation de sécurité à votre égard, compte tenu de la détérioration de votre état de santé et l'absence de mesure prise;
Je vous invite à vous rapprocher d'un avocat pour qu'il vous conseille ou vous guide dans vos démarches.
Je me tiens à votre disposition, mes coordonnées sont disponibles sur mon profil.
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