Bonjour Maitre,
Merci d'avoir pris le temps de répondre.
L'erreur ne porte pas sur le bailleur (moi), mais bien sur le preneur.
Lhuissier, lui, dit que, c'est un vice de forme, donc que c'est au preneur de faire la preuve du grief.
Le preneur invoque, pour sa part, un vice de fond, le destinataire du congé, la maison mère, n'est pas co-contractant. Pour lui, le congé est nul, donc inexistant.!
Toute sa communication est verbale, aucun écrit. D'ailleurs, ce n'est qu'en le contactant 5 mois après le congé, que j'ai appris qu'il considérait comme nul le congé. Donc les délais sont écoulés.
Cordialement
il y a 5 ans
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