Convocation suite à un dépot de plainte

Sujet initié par GNDC, il y a 5 ans - 3917 vues

Bonjour,

Mon fils a été convoqué une première fois suite à un dépot de plainte, mensongé, de l'une des employées de la de la commune qui travaille dans l'établissement où mon fils est AESH pour l'académie. suite a sa première audition ( où il fut convoqué un dimanche matin et par téléphone), la gendarmerie l'a rappelé pour lui dire (vous avez menti Monsieur, vous serrez reconvoqué), les fêtes ce sont passées et ils viennent de le rappeler pour le convoquer à nouveau, en le menaçant de poursuites pénales et financières. (je précise également que mon fils avait voulu porter plainte contre cette personne, quelque semaine avant qu'elle dépose sa plainte, pour harcèlement moral, et ils ont refusés, il n'ont pris qu'une simple main courante, ,dans la même gendarmerie)
Mon fils leurs a demandé de lui envoyer une convocation écrite, son interlocuteur lui a dit qu'il n'y était pas obligé et qu'une convocation téléphonique était suffisante.
mon fils est paniqué et très affecté par ce qui se passe, les gendarmes l'accuse de mentir et sont vindicatifs avec lui, la personne qui a déposée plainte a des contactes dans la police(ancienne gendarme , ainsi que son mari) et visiblement elle à le bras long car même sa direction la craint, et elle n'en est pas a sa première "victime dans la commune".
est il normal que mon fils soit convoqué par téléphone uniquement, et aussi rapidement. (lorsque j'ai déposés des plaintes contre mon ex-mari pour violences conjugales, harcèlement physique, menace de mort, violation de domicile..etc.......jamais il n'a été convoqué et toutes mes plaintes ont été classées sans suite malgrè les preuves) ou est ce que la gendarmerie essaie de l'intimider?
Que faut il faire pour que mon fils retrouve la paix, cette personne a déjà essayer de le faire virer en passant par l'accadémie, mais cela n'a pas fonctionné donc elle a porté plainte.
j'ai peur pour lui et je ne comprend pas la différence de traitement des affaires, ni comment des gendarmes peuvent être aussi vindicatif avec une personne qui nie les faits, puisqu'il n'a rien fait, justement ! n'est ce pas le procureur qui doit décider de ce qui doit être fait ou pas ?

Merci de vos réponses