Bonjour à Tous ceux qui s'intéresse à mon vécu d'y il y a quelques jours...
Je retransmets le msg envoyé à une avocate de droit de la santé, qui, elle aussi ne me donne de réponse:
Demande de conseil ou rendez vous si possible plus tôt
Ce mail fait suite à l'échange téléphonique de ce jour avec votre secrétariat pour le rendez vous fixé le 21 janvier 2020, 15h00; je vous relate les faits comme me l'a proposé votre secrétaire et comme je peux, avec la fatigue, aujourd'hui! Votre secrétaire m'a proposé ce courriel, puisque j'ai manifesté mon incertitude sur une prolongation de l'arrêt maladie en date du 17 janvier. J'ai espoir que vous puissiez me conseiller sur mes interrogations sur la prise en considération de mon état de santé.
Bonjour Madame M.......,
J'ai été recruté dans un collège public, suite à une offre d'emploi de Pôle emploi avec pour contact, le conseil départemental du ........... pour un remplacement, j'ai eu le concours de la Territoriale sur ce poste, mais la date des 3 ans est passée.
J'ai une reconnaissance RQTH qui me permet actuellement de postuler à l'emploi sur ce genre de poste.
J'avais en parallèle une promesse d'embauche pour un CDI dans une entreprise privé au moment où je me présente dans cet établissement.
Lors de mon arrivée au collège, le 2 décembre, je n'ai comme seule directive de travail, l'offre d'emploi(durant tous les jours écoulés malgré des demandes d'informations pour exécuter au mieux mon travail et mon intégration: pas de contrat, pas de règlement intérieur, pas de fiche de poste...).
Tout se déroulait correctement: j'occupe ce métier d'agent de maintenance du bâtiment depuis plus de 13 ans et je me suis formé en ce sens, notamment pompiers volontaires(nombreuses formations) pendant plus de 7 ans, j'ai des formations bâtiments, un diplôme des risques de paniques et d'incendie, prévention dans les ERP et j'ai un parcours de création d'entreprise avec beaucoup de stages créateurs à la chambre des métiers de ........
Lors de notre entretien personnel de la première semaine, il m'explique que ce n'est pas toujours évident car nous sommes prêtés à l'éducation national et c'est comme pour le Maire de P..........., avec les agents territoriaux. D'ailleurs ce jour, il me demandera à conserver mon Cv que j'ai dans ma pochette. Le vendredi suivant, il aura copie de toutes mes nombreuses qualifications que je dois aussi envoyé me dit il, au département.
J'apprends au fil des jours que c'est très compliqué pour mes collègues et qu'une enquête de santé et bien être au travail est en cours puisque certains agents sont allés jusqu'à Q........
On me dit:"On préfère ne rien te dire, tu devras voir par toi-même, que c'est compliqué ici contrairement à ailleurs..."
Cela m'interroge mais ce n'est pas le premier établissement, ni collectivité que je fais et tout à toujours fini aller correctement même si fin de contrat il y a. Jusqu'à lors, je n'ai quasiment eu que des contrats à durée déterminée pour des raisons d'ordres privées et familiales.
Depuis cette fin d'année 2019, je suis à la recherche de ma seconde et dernière carrière professionnelle.
Depuis le 20 décembre, je suis malheureusement et malgré moi en arrêt maladie.
Le principal du collège m'assure souhaiter que notre relation de travail, comprend mon enthousiasme à bien faire; que la rentrée des vacances, le 6 janvier 2020 soit orientée sur les travaux en cours et l'amélioration des économies de charge de fonctionnement; sans oublier la commission de sécurité qui arrive et la préparation des futurs travaux programmés pour l'année 2020, l'escalier et pour le toît de l'hébergement.
J'ai donc favorisé la continuité de mon travail en ce lieu: un contact sympathique des collégiens et de leurs diversités (milieu d'enfants en difficultés), des instituteurs et mes collègues territoriaux(qui me témoignent leur "joie" d'orientation professionnel) avec qui j'ai de bonnes relations plutôt que de valider une promesse d'embauche dans l'entreprise privé (40 salariés espaces verts à encourager à "respecter" le matériel collectif et individuel comme notamment les EPI ...): la personne en longue maladie d'environ 4 ans devrait arriver à l'age de 62 ans l'année prochaine, âge de sa retraite et le poste devrait devenir "vacant" courant 2020. Je sais que cela peut reporter mon projet d'achat immobilier, tant que le contrat à durée déterminée n'est pas en ma possession.
Hors le jeudi 19/12 en fin d'après-midi, lorsque j'appelle de département pour me renseigner et les informer de la continuité sur mon choix de travail dès le retour des vacances, l'administration m'apprend qu'il y a une autre personne prévu pour le 6 janvier: "plus ancien que moi pour ce poste", que le principal du collège aurait manifesté le souhait de ne plus vouloir avoir de relation de travail avec moi". J'exprime mon incompréhension et ma stupeur puisque je viens de croiser mon responsable technique qui m'assure revoir cela demain avec le département puisqu'il a appris qu'ils sont aussi occupés par l'arbre de Noël.
L'interlocutrice m'assure revenir vers le Principal, le soir-même et revoir avec lui car elle ne comprends pas elle-même.
Depuis, il semble s'avérer que je me retrouve sans CDI, sans la possibilité de reprendre mon poste le 6 janvier 2020: en arrêt maladie initial pour "état anxio dépressif réactionnel" jusqu'au 29 décembre (par le médecin remplaçant le 20 décembre du médecin agrée qui m'avait mis apte avant mon arrivée le 2 décembre 2019) et plus de poste dans le privé car je n'ai validé ma promesse d'embauche.
J'essaie dès le samedi 21 décembre de joindre Le médecin( il devait normalement travaillé le samedi) mais tombe sur une messagerie qui annonce que le cabinet médical est fermé.
J'ai beaucoup de mal à trouver un sommeil réparateur de part les incidences que cela va peut être avoir sur ma vie prof, certes privé et familiale et notamment, je le constate sur la santé de ma mère qui n' arrive pas à faire redescendre le stress que tout cela lui cause.
Le médecin agrée par le département ne souhaite pas, semble t'il, appliqué les informations reçues par la Secu..., qui est de faire un état correctif à l'arrêt de travail initial et reconnaître à un accident ou incident de travail ou maladie professionnelle. Je me retrouve reconduit à l'arrêt maladie et il me dit que cela va s'arranger, que peut être la personne qui est prévu me remplacer ne me remplacera peut être pas le 6 janvier prochain. Il me réconforte, lorsque je souhaite programmer un nouveau rendez vous, comme il me l'avait été proposé auparavant, que l'on verrait cela plus tard car les secrétaires ne travaillent pas ce samedi 28 décembre.
Ce médecin ne m'ausculte jamais sauf à ce rendez vous, où il me soigne pour une toux et plaisante sur un piqûre à faire. De plus, il plaisante sur le fait que j'ai raté le rendez vous qui était la veille à 9h00. De retour chez ma mère, je remarque que c'est une prolongation où il est question de"Burn out"; pas de prescriptions pour mes difficultés à me reposer ou pour le sommeil (de toute manière je ne suis pas pour les médicaments chimiques et je suis plutôt médecine parallèle et plantes).
J'essaie de l'avoir à nouveau début de semaine suivante; on prends note de ma demande: s'il est possible qu'il me rappelle car j'apprends avec la secrétaire qu'il sera à nouveau absent et remplacer pour la fin de semaine. Je n'ai eu d'appel de sa part alors qu'il m'avait annoncé qu'il restait la prise électrique à changer sur les travaux d'électricité commencés dans son cabinet.
Le samedi 4 janvier, n'ayant eu d'appel, n'arrivant à joindre son cabinet, ma mère et moi décidons de faire venir SOS médecin pour une consultation commune. Je suis à nouveau prolongé jusqu'au mercredi, le temps que je puisse revoir mon médecin dont le cabinet semble fermé.
Le lundi, j'arrive enfin à joindre une secrétaire qui me donne un rendez vous pour le mercredi 8h55.
Le mardi, j'apprends par le département qu'une plainte du principal serait établit à mon encontre et que pour le moment, le département travaille sur la réponse à mon courrier, que tout le monde l'a lu, y compris la présidente du département; celui-ci attirerait toute leur attention.
J'annonce à mon interlocuteur que je ne crois pas en cette plainte, que cela m'inquiète et vient se rajouter à toutes les difficultés de cet emploi; il me rassure en m'annonçant qu'il n'en ait pas sur, qu'il l'a juste entendu.
J'appelle le cabinet rapidement et demande si je peux être reçu le jour même par le médecin, en évoquant cette plainte qui circulerait; j'obtiens un rendez vous pour 19h00 le soir même.
Ce soir là, il me dit que cela est pas facile de faire face à tout cela pour un seul homme, me propose de quantifié le nombre de jours ce à quoi je réponds que c'est lui le médecin, il me donne un certificat d'aptitude pour faire du sport, continu à me tutoyer en utilisant mon prénom, annonce que je suis à jour de mes vaccins (je n'arrive à remettre la main sur mon carnet de vaccination qui devrait être à Plouguerneau). Je lui rappelle que le sommeil me manque, il rajoute une ordonnance pour dormir et je repars avec une prolongation jusqu'au 17 janvier avec une inscription "VAD suivi par Dr D.....", une très bonne relation à Lui. A l'annonce du fait que j'ai été convoqué par le commissariat le lendemain pour 11h30, il me rassure sur le fait qu'il faut que j'attente de voir de quoi il en découle et que je passe lui dire ce qu'il en ait après.
Je continu à m'amaigrir depuis le début de cette histoire qui me dépasse.
Ni l'inspection du travail, ni la médecine du travail, ni le service Medecin expert de l'assurance maladie ne m'aident ou ne m'entendent dans cette détresse..
Que puis je faire?
Pouvez vous m'apporter des directives car la Secu... me demande aujourd'hui des éléments pour le calcul des indemnités journalières?
Je ne sais plus que ou quoi faire, à qui m'adresser...
J'ai eu énormément de mal à trouver un avocat qui veuille m'entendre ("conflit d'intérêt", m'annonce t'on); en tout cas pour ceux qui m'auraient écouté...
Actuellement, j'ai été reçu par un cabinet, qui me dit d'attendre 10 jours sans devoir rien entreprendre(courriers, sms, ou autres...), avec l'attente d'une réponse éventuelle au courrier que j'ai envoyé en AR, à la présidente du conseil départemental le 26 décembre 2019 .
Voilà, je crois avoir réussi, malgré un épuisement et une grande fatigue, à vous relater au plus juste, les faits ou état de mes difficultés,
Sans compter que j'ai été reçu en audition libre hier, après une nuit quasiment sans sommeil, pour une plainte pour menaces (menaces que j'aurai faites à l'encontre du principal),totalement faux, en lieu clos et en la présence du responsable technique, qui semblerait à ce jour l'attester aussi...
Je n'ai pu avoir l'écoute et du soutien par la personne qui m'a auditionné bien que mon état de fatigue était très flagrant: il a fallu lire et relire le procès verbal où des erreurs de ce que j'ai dit se lisaient. Avec la fatigue et l'épuisement d'environ 3 heures d'audition, je suis reparti plus fatigué et sans comprendre le fait que cette personne est notée ce qui devait concerner ou non mon audition.
De plus, c'est ce matin, qu'au réveil, je me souviens qu'elle semblait n'avoir mangé, m'incitant ou m'encourageant, par son "agacement apparent"à boucler ce dossier d'audition libre, à ne pas relire tout ce qu'elle avait écrit avant que moi, je ne commence à parler.Elle m'amène à suivre le mouvement de son crayon et ne commencer à lire qu'à l'endroit où mes propos commencent. Malgré un épuisement, nous reprenons à 3 reprises les écrits de l'audition; j'ai du mal à me centrer et finis par moins raisonner, la fatigue prenant le dessus: je finis pas signer les 4 ou 5 feuilles sans relire et repart épuisé avec un sentiment de frustration quant à l'écoute de ce jour, différemment au climat d'écoute et de confiance des échanges téléphoniques précédents.
Puis je aujourd'hui faire un complément d'audition, ayant un peu repris sur ma fatigue car du coup, je suis resté avec mon souhait de pouvoir manifester certaines choses complémentaires autres que sur les faits pour lesquels j'étais entendu?
Il serait possible que malgré de très bonnes relations, un souhait partagée(le collège plutôt que l'entreprise privé) et continuer ensemble à oeuvrer pour le bien des collégiens, que je ne puisse avoir de soutien écrits de mes collègues qui auraient, semble t'il, reçu des directives, de ne devoir ne plus me parler(blacklister, plus de répondre au tel ou aux réseaux sociaux....) et de plus avoir de lien avec moi.
De plus, un courrier à mon adresse sur p..........., écrit le 20 décembre,en recommandé, du principal m'interdit l'accès au collège; j'en prends connaissance vers le 28 décembre.
Je commence alors à comprendre ces silences, ses absences et la réaction de la CPE du collège(qui me faisait la bise, m'appelait par mon prénom et rigolions ensemble) qui s'écarte de moi "comme si j'avais la peste", le vendredi 20 décembre après midi, jour de la restitution des clefs organisé par Mr B......, venu de R........, Brigade de Sécurité Mobile.
Ce Monsieur m'avait assuré pouvoir être entendu par l'Académie dès la rentrée des vacances, puisque le rendez vous programmé de 09h15 (avec la possibilité, à ma demande, de présence de délégué du personnel, de membre académique de la hiérarchie du principal...) n'avait pu être honoré puisque j'étais absent, malade (appel téléphonique vers 7h55 pour annoncer à mon collègue G......, que j'ai pratiquement pas dormi de la nuit, que j'ai les intestins retournés par ces nouvelles du principal et semble t'il, à nouveau chômeur et plus de promesse de CDI).
Il me semblerait peut être, que tout serait peut être dû à l'arrivée de la commission de sécurité (tous les 3 ans) qui doit venir faire son inspection ce vendredi 17 janvier 2020; j'avais informé le principal d'éléments qui pour moi concernaient directement la sécurité des biens et des personnes; j'ai du établir une dizaine de feuilles dans le registre de sécurité de l'établissement car lorsque je suis arrivé début décembre, il restait encore pas mal de travaux rectificatifs non résolus ou exécutés.
Je ne comprends pourquoi le département ne réponds pas à mon courrier professionnel ( retour d'expérience et d'analyse); l'arrivée de la commission étant imminente et détermine le niveau de sécurité ou d'insécurité de l'établissement. Pourtant, dans la deuxième semaine, je manifestais le souhait d'être entendu sur les difficultés que je rencontrais dans l'accomplissement de mon travail à mes interlocuteurs du département.
Le fait de n'être reçu ou entendu ni par le Département ou l'Académie me bouleversent, me tient éveiller(très peu de sommeil); je commence à perdre confiance aux valeurs professionnelles et aux institutions.
Le principal aurait donc, semble t'il, droit à mettre en oeuvre des "malversations" sans en être aucunement inquiéter:
3 policiers sont quand même passés chez ma mère à B......., le 20 décembre pour réclamer des clefs que j'avais rendu à l'établissement.
Elle en est malade encore à ce jour; elle a pensé à l'annonce d'un décès de ses 3 enfants!
Je l'ai retrouvé chez elle, barricadée de toute part, porte fermée à double tour bien que je l'ai rassuré au téléphone au plus vite,comme quoi j'avais tout rendu au collège!
La prolongation de l'arrêt actuel(les motifs changent régulièrement:"état anxio dépressif réactionnel le 20 décembre puis burn out et celui ci de VAD est jusqu'au 17 janvier.
Tout ceci m'impacte beaucoup, suscite un mauvais stress, éveille des inquiétudes.
Je ne peux savoir si le médecin va reconduire cette incapacité au travail (mon médecin traitant est sur P..........., n'est aucunement informée de cette situation difficile à vivre, puisque je suis sur B........ depuis ces derniers événements et limite mes déplacements voiture; j'essaie à la fois de retrouver le repos mais j'ai besoin d'éléments de réponse à mes incompréhensions.
Force ouvrière ne souhaite intervenir et m'annonce que ce médecin est peut être Juge et Partie....
Merci pour vos conseils,directives (propositions de rendez vous,dès que vous le pourrez) qui seront, je le pense, avisés.
Bien respectueusement
J........
Merci de m'assurer bonne réception de mon courriel à réception de celui-ci
il y a 4 ans
Voici nos échanges par mails (Merci de m'apporter vos conseils avisés)
Avocat:
Chère Madame, Cher Monsieur, Cher confrère,
Le cabinet accuse réception de votre mail, lequel sera traité dans les meilleurs délais.
Salutations dévouées
.............................................
Plus tard:
cher Monsieur
je ne peux vous répondre, seul le médecin peut décider ou non de la prolongation
ce n'est pas une notion juridique mais médicale
cordialement
Moi:
Maître,
je vous remercie pour votre réponse.
Je tiens à évoquer avec vous, le 21 janvier, ce qui est autre que la prolongation de l'arrêt maladie car j'avais déjà compris que c'était de l'ordre du médecin, ce que je respecte grandement.
J'espérai que vous puissiez m'informer sur le plan de la défense Santé, de la manière éventuelle dont il est possible de contester un avis ou décision médicale.
Je me permets de vous demander de m'assurer confirmation du rendez vous proposer par le secrétariat pour la date de mardi 21 prochain, à 15h00.
Cordialement
J........
Puis, plus tard, quelques minutes:
Cher Monsieur
le créneau de rdv est déjà pris
je ne peux contester une décision médicale seul un autre médecin peut la contester
cordialement
ALORS, QUE FAIRE?
Merci de m'apporter une aide
Jackess29
il y a 4 ans
Bonjour,
A quoi bon écrire sur ce site si l'on n'obtient de réponse?
Je ne comprends pas trop le fonctionnement de votre site.
Jackess29
il y a 4 ans
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