Bonjour,
Merci d'indiquer si j'ai répondu à votre interrogation
il y a 3 ans
Bonjour Maître ,
Tout d'abord merci pour votre réponse / vos réponses
La problématique est différente : je conteste que l'accident ait eu lieu le lundi 1er mars où je ne conduisais pas et où je me trouvais à pied sur le trottoir d'en face dans l'attente d'une dépanneuse, mais l'accident s'est déroulée la veille.
J'ai le justificatif de l'assurance comme quoi j'ai déclaré le sinistre à mon assurance le dimanche 28 février 2021 à 15h30 avant de me rendre à nouveau sur place le lundi 1er mars et ces documents ont été été fournis lors de l' l'audition à la la gendarmerie en septembre dernier, ainsi que les photos du véhicule accidenté datant du 28 février 2021
Malgré tout, le gendarmes semblent rester sur leur positions !
Pour l'instant un dossier en en cours d'instruction auprès du tribunal mais reste au statut de "en enquête", c'est à dire ni classement sans suite, ni convocation auprès du tribunal. C'est pour cela que je me demande sur quoi ils enquêtent sachant que les faits remontent à 10 mois...
Il sont même allés jusqu'à interroger sur convocation au commissariat mes 2 enfants âgés de 9 et 10 ans qui étaient présents lors de l'accident pour essayer d'en savoir plus, le tout en présence de leur mère avec qui je je suis divorcé depuis plusieurs années !
Voici pourquoi je m'interroge sur ce bornage téléphonique et de la facilité qu'ils ont à effectuer ce relevé...
Cordialement,
Sébastien
il y a 3 ans
Bonjour,
Je vous confirme que les gendarmes peuvent très facilement avoir accès au bornage téléphonique : il leur suffit de faire une réquisition auprès de votre opérateur téléphonique pour avoir ces informations.
Je vous confirme également qu'une enquête peut mettre un certain temps avant d'aboutir à un classement sans suite ou une convocation devant le Tribunal, non pas parce que l'enquête en elle-même prend du temps, mais parce que les gendarmes doivent également gérer d'autres enquêtes simultanément, qui semblent manifestement plus importantes pour eux.
A cet égard, je vous indique que les faits de matière délictuelle se prescrivent six ans après leur commission : les forces de l'ordre prennent donc le temps...
Merci d'indiquer si j'ai répondu à votre interrogation