Bonjour,
le cadre:
J'ai vendu un véhicule fin janvier , de 2005 et totalisant 195000Km que je possédais depuis 10 ans, vendu 2400e.
CT en règle, passé la veille de la vente, mentionne juste un réglage d'antibrouilard et un défaut mineur sur capuchon en plastique de crémaillere de direction.
Véhicule vendu 2400e, les seuls frais à effectuer sont le remplacement du kit distribution, pour lequel je fourni les pièces détachées.
Un acheteur, venant tout juste d'avoir son permis, vient voir et essayer le véhicule deux fois accompagné de sa mère et d'amis et il finit par acheter le véhicule. lsait à peine conduire, il essaie le véhiculesur le parking d'un centre commercial, n'ose pas passer la seconde et aller sur la route.
Par conséquent, sa mère effectue l'essai routier avec tout le monde présent dans le véhicule.
Je recois un appel 15j plus tard de sa maman me traitant de malhonnète!
ils ont fait faire la distribution par un ami (donc pas en garage), et celui-ci détecte une présence d'huile au niveau des raccords de durites de suralimentation de turbo.
Selon eux , le turbo est à changer!
De mon coté, je n'ai jamais eu de signé annonciateur, de voyant au tableau de bord, ni quoi que ce soit etc...
3 semaines après la vente, je recois une LRAR accompagné d'un devis de 1500e pour remplacement de turbo. Sue ce devis, je vois que le véhicule à déja parcouru 1600km en 3 semaines.
Actions que j'entreprends:
- Je contacte le CT ayant vu le véhicule la veille de la vente:
Pas de fumée noire, pollution passée haut la main, pas de présence de goutes d'huiles
Un turbo en fin de vie aurait compromis le passage à la pollution.
-J'appel le garage ayant réalisé le devis à l'acheteur (une chaîne dans le style Norauto).
Le véhicule roule très bien! Ils sont venu et repartis avec.
Ie garagiste aurait effectivement vue de l'huile sur les raccords de durite d'air du turbo, ils établissent un devis de 1500e à la demande de l'acheteur.
Au téléphone, le garagiste, ou plutôt le commerçant, insiste sur le fait qu'une présence d'huile est signe annonciateur de turbo en fin de vie.
-Je passe chez le concessionnaire de la marque (VW/SEAT):
La présence d'huile dans les durites de suralimentation est normale. En fonctionnement, de l'huile se vaporise et repasse à l'état liquide dans les durites de suralimentation.
Un turbo HS occasionne une perte de puissance et l'allumage d'un voyant au tableau de bord.
Il existe des diagnostiques électroniques de turbo, le simple à 51e, le complet à +/- 150e (allant du simple relevé de code défaut, à un examen plus approfondi)
(A priori, le véhicule n'a rien de tout cela)
-Sur conseil de ma protection juridique (l'acheteur et moi même sommes dans la même compagnie d'assurance), je réopnds par simple SMS que je refuse les doléances d' l'acheteur consistant à reprendre et rembourser le véhicule, ou payer les frais de réparation, ou participer aux réparations.
Je lui mentionne qu'il est de son ressort de prouver le vice caché, sans en dire de trop afin de ne pas lui montrer mon inquiétude, ni lui dévoiler des pistes.
Je pense fortement que l'acheteur a déja contacté sa protection juridique, car la LRAR que j'ai recu est une lettre type de notre compagnie d'assurance.
Selon vous, au vue des éléments énoncés ci dessus, qu'est-ce que je risque? quelle sera la suite des évènements?
Ayant racheté un véhicule, je n'ai plus la finance pour le rembourser ou participer aux éventuels frais.
Quel serait le montant d'une procédure judicaire?
Merci d'avance,
Cordialement
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