Merci maître pour avoir essayé de répondre, mais non ! je suis victime d'une affaire criminelle en cours qu'il faut faire cesser incessamment, dès lors qu'un avocat se décide à m'aider. Mais aujourd'hui, et tant que je continue à appeler à l'aide (ou mes proches appellent à l'aide), c'est que je suis en danger. Donc aidez-moi svp.
Vous parlez d'« intelligence », mais, soit dit en passant, ce n'est parce que des avocats font 8 ans d'études après le bac que ça les rend plus intelligents.
Avant mon procès, je n'avais pas d'argent, j'étais éligible à l'AJ. J'ai consulté 4 avocats différents, tous pénalistes et qui tous acceptaient l'AJ. Les 4, sans aucune exception, m'ont demandé de commencer par leur faire un chèque, que j'ai payé, pour pouvoir m'écouter, et à la fin de nos entrevues, ils déclinaient tous, en gardant le chèque... Combien voulez-vous que je paie d'autres avocats pour qu'ils encaissent mon argent (alors que je suis tombé dans la pauvreté) et qu'ils m'envoient balader ensuite ?
Donc sans avoir trouvé d'avocat « correct » (il y a un problème déontologique dans votre profession), j'ai dû fuir la France pour éviter un procès truqué par des faux fabriqués par les policiers + procureurs. C'est une arrestation arbitraire, la mienne, qui se profile (c'est un crime, art.432-4 CP).
Du côté des avocats, ce n'est pas un problème d'intelligence, c'est un problème de courage. Je n'ai pas rencontré d'avocat courageux.
Pour combattre la lâcheté, le législateur a introduit l'article 223-6 du Code pénal, avec les alinéas 1 (qui me concerne pour l'affaire criminelle en cours) et 2 (qui concerne les cas de péril imminent, ce qui n'est pas mon cas).
Tant que je suis en danger, tant qu'aucun avocat ne se dévoue, c'est la lâcheté et les combines qui prévalent. Voilà pourquoi je suis seul à me battre.
Je suis en danger ! Le problème n'a pas été résolu avec votre message (même si vous étiez bien intentionné) et je renouvelle mon appel à l'aide.
il y a 1 an
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