Bonjour,
Je me permets de vous poser une question suite à un article lu sur votre site.
L’article traitait des 5 obligations des établissements scolaires en cas de
divorce et mentionnait que les enseignants devaient appliquer strictement les mesures décidées par le juge.
Hors il s’avère dans mon cas, que ma fille est déposée tous les matins depuis la rentrée par sa mère dans un établissement pour lequel le juge l’avait pourtant débouté d’y inscrire ma fille.
Cette école permet donc à la mère de ma fille de violer le jugement ainsi que mon autorité parentale (je me suis opposé à la desinscription de l’école de ma fille), avec approbation de l’inspection de l’éducation nationale qui jouant sur la semantique parle d’un accueil et non d’une inscription pour se justifier.
Je voudrais donc savoir si l’argumentaire de l’éducation nationale violant un jugement était recevable, celle-ci argumentant d’une « obligation » de recevoir ma fille « le droit d’accueil primant afin d’éviter une rupture des enseignements »
En vous remerciant par avance pour de vos réponses