Bonjour Maître
Comme convenu,je reviens vers vous et j'ai besoin de votre éclairage avant une décision finale,quel type de mise en demeure grâce à mes arguments positifs dont vous avez connaissance peut faire plier la partie adverse ,car à la base du vrai problème et de notre départ après seulement 18 mois d'occupation réside dans l'insistance de la propriétaire à vouloir de nouveau occuper son bien au terme des 3 ans du bail. Nous avons donc décider pour des raisons physiques immédiates(75 ans) de partir avant l'échéance de 2026 occasionnant fatigue et frais multiples .En fait,ce qui aurait dû être dit devant notaire avant signature nous a été caché ?
Nous sommes cependant conscients qu'elle est dans son droit......qui ne punit pas toujours la préméditation.Si nous analysons la situation il reste 350 € sur la caution à récupérer, nous habitons désormais proche de Bordeaux ce qui exclue la commission départementale de conciliation de Bretagne vu les frais engagés sans aucune certitude de résultats à l'amiable (vu l'appétit des enfants de la propriétaire qui se mêlent désormais au débat !
L'autre solution que vous avez déjà exprimée (votre plaidoirie) nécessite un engagement financier qui ne semble pas être à la hauteur de l'enjeu : mise à nu de la manœuvre de la propriétaire avec le notaire simplement étayée par des échanges verbaux à 3 reprises et des fausses déclarations de mise en avant du bien par le notaire par annonce.
Reste la méthode de choc de l'intimidation à mettre en place...qu'en pensez vous Cher Maître ?
Merci infiniment par avance pour votre réponse
Bien à vous
NB. : Le fils et la fille de la propriétaire nous interdisent désormais de contacter leur mère (présente à l'état des lieux de sortie et....seule responsable) ce qui bien sûr nous fait sourire., visiblement co propriétaires quels droits ont t'ils dans cette affaire et compte tenu de leurs agissements pouvons nous envisager de porter plainte...un moment où un autre ? car pour le moment nous accumulons chaque maladresse de la partie adverse et restons dans l'espoir d'une jurisprudence dans ce type de dossier
il y a 1 mois