Bonjour,
Tout d'abord, il convient de verifier si le procureur a décidé de ne pas engager de poursuites pénales, cela ne signifie pas que votre ex-conjoint a le droit de revenir dans votre logement familial.
La décision de classement sans suite peut être fondée sur le fait que l'auteur des violences s'est engagé à ne pas se rendre dans certains lieux, mais cela ne lui confère pas de droits sur votre domicile.
Par conséquent, vous pouvez saisir le juge aux affaires familiales pour obtenir une ordonnance de protection. Cette ordonnance peut interdire à votre ex-conjoint de s'approcher de vous et de votre domicile.
Vous pouvez faire cette demande même si vous n'avez pas encore déposé plainte pour les violences verbales récentes. L'ordonnance de protection peut être délivrée en urgence si vous êtes en danger.
Si vous souhaitez que la justice prenne en compte les violences verbales que vous avez subies, vous pouvez envisager de porter plainte à nouveau ou de vous constituer partie civile. Cela peut permettre d'ouvrir une enquête sur ces nouveaux faits.
Il est impératif de conserver toutes les preuves des violences subies, y compris le certificat médical, les témoignages de témoins, et toute autre documentation pertinente. Cela peut être utile pour toute procédure future.
Si votre ex-conjoint ne respecte pas les engagements pris ou s'il revient chez vous, vous devez immédiatement contacter la police. Vous pouvez également envisager de déposer une main courante pour signaler les comportements inappropriés.
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L'auteur de l'infraction à accepté de ne pas paraître dans certains lieux où l'infraction à été commise ou dans lesquelles vous résidiez pendant une durée déterminé. Cette démarche ayant été accomplie, la procédure ne donnera pas lieu à des poursuite pénale à son encore.
Cela veut dire que infraction a été reconnu ? Et donc monsieur est reconnu comme L'auteur d'infraction ?
Je comprends pas.
Cordialement
il y a 1 mois