J'ai un avocat qui malheureusement est très pris et ne répond que partiellement à mes questions et interrogations sans détails..
Preuves ok, pas de traces de coups physiques pourtant étranglement etc .. mais on ne m'a pas emmené voir un médecin lors du dépôt de plainte et moi même je n'y ai pas pensé lors de ma fuite et j'avais très peur.
Ordonnance de protection, mon avocat en question refuse de faire cette demande car j'ai quitté le domicile conjugal et donc je suis en sécurité d'après elle, aujourd'hui je ne sais aller travailler car Mr m'a déjà attendu au lieu de travail mais la police a refusé ma plainte et même main courante car c'est un citoyen comme tout le monde et il a le droit de stationner où il veut et que je n'ai pas de preuves.. car je courais me réfugier ds le bâtiment de travail..
Pour ce qui est des preuves pour l'interdiction de sortie de territoire, je n'en ai pas malheureusement ça a toujours été oralement et par téléphone lorsque celui-ci a volé tous mes biens personnels il a tout a fait mentionné qu'il pourrait prendre autre chose et ne pas me le rendre pour une meilleure éducation dans son pays que dans notre pays de blancs..
Exactement, pas de refus du lien bébé et son géniteur mais dans un cadre sécurisant et je veux être sûre que bébé n'est pas en danger du fait de ses violences verbales envers bébé et violences physiques car il l'a secoué mais présente pour protéger l'enfant avant mon départ et avant que ce soit trop tard a cause des pleurs...
Merci pour votre retour en tout cas !
il y a 1 mois
Le fait d'avoir quitté le domicile conjugal ne constitue pas un obstacle à la demande d'ordonnance de protection.
Selon l'article 515-9 du Code civil, le juge aux affaires familiales peut délivrer une ordonnance de protection en cas de danger pour la victime ou un enfant, même si la victime ne vit plus avec l'auteur des violences.
Vous pouvez donc solliciter cette ordonnance en présentant les éléments de preuve dont vous disposez, même s'ils ne sont pas matériels. Les témoignages, les déclarations sur les comportements violents, ainsi que les circonstances de votre fuite peuvent être pris en compte par le juge. Il est également possible de demander une évaluation par un professionnel de santé mentale qui pourrait attester de l'impact psychologique des violences subies.
Concernant la police, si votre plainte ou main courante a été refusée, vous pouvez envisager de consulter un autre avocat qui pourrait vous aider à faire valoir vos droits et à déposer une nouvelle plainte, ou à saisir directement le juge aux affaires familiales pour demander l'ordonnance de protection.
Enfin, il est crucial de documenter toutes les interactions avec votre ex-compagnon, surtout celles qui pourraient mettre en danger votre sécurité ou celle de votre enfant. Si vous craignez pour votre sécurité au travail, envisagez de discuter avec votre employeur des mesures de sécurité possibles.
Merci d’indiquer la question comme résolue en cliquant sur le bouton vert.
il y a 1 mois
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