Bonjour
Les violences habituelles, en droit pénal, ne nécessitent pas que les actes soient quotidiens. Ce qui compte, c'est qu'il y ait une répétition des violences sur une certaine période, créant un contexte de souffrance ou de domination. Cependant, si vous pensez que la fréquence ou la nature des violences a été mal interprétée ou exagérée, il peut être pertinent de le signaler au procureur pour clarifier les faits.
Cela dit, il est important de ne pas minimiser les actes subis. Si vous avez des doutes ou des inquiétudes sur la manière dont votre témoignage est pris en compte, vous pouvez demander conseil à un avocat spécialisé en droit pénal ou en droit des victimes. Il pourra vous guider sur la meilleure façon de présenter les faits tout en protégeant vos droits.
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