Bonjour,
Tout d'abord, il est essentiel de fournir au médecin agréé tous les documents pertinents relatifs à votre situation.
Cela inclut :
Le certificat médical de votre médecin traitant qui atteste de votre état de santé et justifie votre arrêt de travail.
Le compte rendu de la médecine du travail, qui mentionne le suivi psychologique recommandé.
Les preuves de l'agression verbale, telles que les mails échangés, le procès-verbal d'intervention et la main courante que vous avez déposée. Ces éléments démontrent le contexte de votre arrêt et la nécessité d'une protection fonctionnelle.
Les courriers recommandés envoyés au Maire, qui montrent vos démarches pour obtenir une protection et un aménagement raisonnable en raison de votre reconnaissance de la qualité de travailleur handicapé (RQTH).
En cas de refus du médecin agréé de justifier votre arrêt, vous pouvez envisager plusieurs actions :
Contacter à nouveau votre médecin traitant pour qu'il puisse éventuellement rédiger un complément d'information ou un nouvel avis médical.
Saisir la médecine du travail pour qu'elle puisse intervenir et soutenir votre demande de protection fonctionnelle et d'aménagement de poste..
Concernant la demande de médiation et la somme de 1500 euros que vous estimez nécessaire pour couvrir vos pertes financières et les préjudices subis, il est important de justifier cette demande par des éléments concrets. Vous pouvez inclure :
Les frais engagés (courriers recommandés, déplacements).
Les impacts émotionnels et physiques sur vous et votre famille, éventuellement soutenus par des attestations de proches ou de professionnels de santé.
Enfin, sachez que si l'agression verbale constitue un harcèlement moral, vous pouvez vous référer à l'article L1152-1 du Code du travail, qui protège les salariés contre de tels agissements.
Vous pourriez également envisager de saisir le Conseil de prud'hommes pour demander réparation du préjudice subi.
Merci d'indiquer la question comme résolue en cliquant sur le bouton vert.
Cliquez ici pour commenter la réponse ci-dessus