Existence d’un vice rédhibitoire…
L’existence de ce défaut s’apprécie par rapport à l’usage normal de la chose.
Par ailleurs, il doit être grave au point de rendre la chose vendue impropre à l’usage auquel on la destine ou en diminuer tellement l’usage que l’acheteur ne l’aurait pas acquise ou n'en aurait donné qu'un moindre prix, s'il l’avait connu.
… caché…
Le vice en cause ne doit avoir été ni perçu ni perceptible par l’acheteur au terme de vérifications élémentaires.
… et antérieur à la vente.
Le vice n’est garanti par l’acheteur que s’il est antérieur ou concomitant à la vente.