\n\tLe non n’est ici pas une réponse facile ! Dans les entreprises d’au moins 300 salariés, l’employeur ne peut s’opposer au congé que si le salarié ne remplit pas les conditions requises comme l’ancienneté. Pour les autres entreprises, le non est possible, sous certaines conditions, si le salarié a déjà bénéficié d’un précédent congé ou si l’employeur estime qu’il y aura des conséquences préjudiciables pour l’entreprise.
\n\tVrai.
\n\n\tEn l’absence d’accord collectif, le salarié doit faire sa demande au moins 2 mois avant la date qu’il a choisie. L’employeur doit de son côté informer le salarié de son accord pour un départ à la date choisie. S’il ne répond pas, passé 30 jours, son accord est acquis. Il peut aussi dans certains cas différer le départ en congé dans la limite de 6 mois.
\n\tFaux.
\n\n\tPar contre en l’absence d’accord, les congés payés acquis peuvent, sous certaines conditions, être reportés. Et si le salarié quitte l’entreprise, il bénéficiera d’une indemnité compensatrice pour tous les jours de congés payés non pris.
\n\tVrai.
\n\n\tSi rien n’est prévu par un accord collectif, le salarié doit préciser l’activité de l’entreprise qu’il prévoit de créer. Cela permet à l’employeur de vérifier qu’il ne s’agit pas d’une activité concurrente... et de s’opposer au départ !
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