Cher(e) Maître,
Je trouve vos propos relativement déplacés et maladroits. D’autant que vous décrivez mal la situation exposée plus haut et que vos confrères ont compris pour leur part.
En effet, je m’informais sur 2 démarches différentes, la première étant non pas de contester le permis mais d’avoir un délai sur le début des travaux qui effectivement pourrait coïncider avec mon retour à la maison en présence un nouveau né. Vous élargissez le champ grossièrement à tout un village, toutefois ce n’est pas le cas il s’agit ici de la maison qui se trouve à 5 mètres de la mienne, qui plus est sur une toute petite place dont l’accès est difficile. L’encombrement des différents engins ainsi que les nuisances sonores et materielles auxquelles je fais allusion se trouveront donc au pied de ma porte. Les troubles provoqués pourront s’avérer invivables et pour mon bébé et pour moi, et ce pendant toute la durée de mon congé maternité qui est censé être une période de repos et de présence pour mon foyer, certainement pas une période de dépression avec un bébé qui ne peut pas dormir et qui est très perturbée à cause du bruit et une maman qui part en depressioon. Les travaux prévus sont des travaux lourds de surélévation, s’il s’agissait de petits travaux ne prenant pas des mois de réalisation ma démarche n’aurait pas été celle ci,
Enfin la contestation sur laquelle je me renseigne interviendrait en parallèle et pour d’autres motifs qui eux font appel aux règles d’urbanismes et troubles du voisinage.
Voilà la situation concrète. En l’occurencz et au vue de votre réponse qui n’apporte en rien un éclairage ou un conseil bienveillant, je me félicite de ne pas avoir à faire à vos services.
Cordialement,
il y a 7 ans
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