Merci pour votre réponse.
Effectivement l'entretien préalable à bien eu lieu et dans les règles.
Le harcèlement n'a pas été évoqué lors de cet entretien préalable, on me reproche en résumé une attitude inappropriée envers une collègue qui reconnait une relation consentie, mais sous l'emprise de la sidération. L'entretien était uniquement à charge, parole contre parole.
Aucun élément de preuve. C'est le délégué du personnel qui a alerté l'employeur sur les agissements de la présumé victime qui a déjà fait licencier un salarié sous motif de harcèlement. Bien que nous avons argumenté sur le doute possible des paroles de cette dite victime, l'employeur n'a fait preuve d'aucun doute sur la véracité des allégations de la personne et de son ressentie. En résumé, l'ayant éconduit, il s'agit d'une vengeance. Notre relation intime est resté a l'abris des regards mais dans les locaux effectivement, ce que je n'ai pas nié. Pour autant, j'ai lu que les relations sexuelles sur les lieux de travail n'étaient pas préjudiciables des lors qu'il n'y avait pas de conséquences sur l'entreprise, et que cela relevait de l'intimité. Pour autant mon employeur au vu de l'entretien a l'air très motivé a me licencier après 27 ans de bons et loyaux service
il y a 4 ans
Well, nous sommes un peu dans la "zone grise" ; il faudrait voir surtout comme l'employeur va se dépatouiller pour caractériser la cause réelle et sérieuse de licenciement (voire la faute grave ?) ;
A mon sens, tout est affaire pour partie de subtilité de rédaction de la lettre de licenciement.
A sa réception, il faudrait en apprécier la motivation.
Je reste volontiers à votre disposition si vous le souhaitiez pour examiner plus avant le bien/mal fondé de la lettre de licenciement.
Cordialement