Fausse accusation d'harcèlement moral suivi d'un licenciement abusif

Sujet (Cloturé) initié par Vividu13, il y a 2 ans - 3458 vues

Bonjour,

Je travailler pour une entreprise de fast food reconnu mondialement.

Etant en franchisés on a été racheté le premier janvier 2022.

J'ai eu un AT le 20 septembre qui est passer d'arrêt complet a AT de soins. Je suis donc toujours en AT pour soins actuellement jusqu'au 31 mars 22.

Je n'ai vu mon nouveau patron que le 10, Et je lui ai demandé un entretien pour parler de mon évolutions de l'entreprise.

J'obtiens mon entretien le 13. L'entretien dure 1h30 mais il est coupé parce que mes collègues de travail viennent me chercher.
L'entretien est reporté au 17 par mon employeur. je n'ai pas revu mon employeur dans l'entreprise avant le dix-sept.

Mon employeur m'a félicité pour mon travail, aux dates des 10 et 13 janvier ainsi qu'au 17.

Le dix-sept janvier on me demande de faire des heures en plus après mon travail qui est de finir à dix-sept heures, J'accepte mais au moment de revenir pour faire les heures en plus, le directeur adjoint vient me voir en catastrophe et m'annonce qu'il faut que je rentre chez moi car il s'agit d'un cas d'urgence vitale.

Cette personne me dit de m'assoir et explique que mon père est rentré à l'hôpital pour defaillance vitale et qu'on vient me chercher rapidement.
Suite à cela je suis mis en arrêt maladie suite au choc, Mon papa est hospitalisé et je passe mon temps a l'hôpital. Mon papa meurt le samedi 22/01/2002. Tout le personnel de mon travail est au courant.

Mon arrêt est prolongé jusqu'au 13 février.
Jamene l'avis de décès a mon employeur ainsi que mes documents d'arrêts. Aucune personne ne dit rien et personne ne m'annonce la catastrophe iminante.

le vingt-sept janvier, Jour de l'enterrement de mon père, Je reçois un recommandés de La Poste.
Il est daté du dix-huit janvier et vient directement de mon employeur.
Je suis mise à pied à partir du dix-huit janvier jusqu'au trente et un janvier où je suis convoqué à un entretien préalable en vue dans licenciement pour faute grave.
Ce courrier ne contient rien de plus.

mes collègues que j'appelle ne savais pas pourquoi j'ai reçu cela.

Donc, j'ai reçu un recommandés à 3 jour de ma convocation , je n'ai pas pu faire en sorte de décalé le rendez-vous car je n'ai pas pu renvoyer un recommandé pour les prévenir.

Je me rends donc à cet entretien dans un état pitoyable, accompagné d'une collègue de travail pour me défendre.

Cette collègue, au final ne me défendra pas et ne diras même pas un mot suite au fait quand on lui demande de ne rien faire.
Cette personne ne me fera pas non plus d'attestation pour la suite des évènements craignant des représailles.

Lors de cet entretien j'apprends qu'on me reproche un faits de harcèlement moral tellement énorme que la victime est en dépression. Alors que 5 minutes avant elle était dans les locaux en train de rire.
Cette collègues que j'ai agressée, selon elle, est une personne avec qui je ne travaille pas ou très peu, 15 minutes a la St glin glin.

Cette personne je l'ai croisé une fois en centre ville puisque nous habitions la meme ville je ne lui ai pas parlé plus de 5 minutes.

Cette personne j'ai eu à la formé pendant une heure sur un poste que j'occupe depuis longtemps.
On m'a demandé comment elle s'était comporté et si elles respectait bien les normes. j'ai répondu honnêtement que c'était pas le cas.

J'ai du poliment demandé à cette personne d'enlever le lot de sac poubelle qui ete a la vue des clients et à côté de l'alimentaire, cest a dire colle au plateau repas du client. C'est interdit en restauration.

Cette personne donc elle m'accuse de la harceler parce que, J'ai fait mon travail de formatrice et que j'ai répondu aux questions de mes supérieurs hyerarchique.

Comme je ne lapprecie pas et que je souhaite limiter mes contacts avec elle au stricte travail avec un minimum de politesse elle m'accuse donc de l'agresser : je ne veux pas faire copain copain avec elle, et que une fois j'ai oublié de lui dire bonjour le matin.
Quand je parle du matin je parle du ouverture des locaux à cette heure et demi quand je me lève à 5 heures.

Suite à ça on m'accuse d'avoir dénigré d'entreprises en dehors de l'entreprise dans mon cercle privé et dedans l'entreprise parceque j'ai dis à mes collègues de vien vérifier leur plannings horaires. C'est sans fondement et sans preuves sur les dires de cette même personne.et elle m'accuse aussi d'avoir pris des documents en photo, sans preuve. Rien n'a été démontrer en entretiens.

Et on m'accuse d'avoir demandé à faire valoir mes droits et à ne plus vouloir que certaines choses inadmissibles au travail se passent sans mon consentement. Donc je suis accusé d'insubordination envers mon employeur.

Suite à cela je demande des explications et je réponds a que je ne suis absolument pas d'accord à ces accusations que je les réfute toutes.

Je demande aussi pourquoi j'ai reçu un recommandé comme cela alors que je suis en arrêt maladie suite au décès de mon papa, je leur demandenpourquoi ce manque de tact et de délicatesse. Et que me reprochent ils réellement?

On me répond que ce n'est pas dans leur réflexion.

Suite à cela le 8 février, Pour la petite anecdote c'est le jour de mon anniversaire après le décès de mon papa , Je reçoit donc une lettre en recommandé qui m'annonce que je suis licencié pour faute grave au 4 février.

Les faits reprochés sont le harcèlement moral de cette dame que je ne connais pas que je ne côtoie pas et surtout que je n'ai pas côtoyer plus de QuinzeMinutes au travail et cinq à l'extérieur.
Il m'est aussi reproché d'avoir écrit quatre recommandé à mon ancien employeur, portant le nom de mon ancien employeur et non pas le nom de mon nouvel Employeur puisque envoyer avant le rachat. Ces lettres d'ailleurs ne lui ont pas été donnée, Lettres où je demande le paiement de toutes mes heures qui n'ont pas été payer, et ou mon nouvel employeur m'accuse d'agressivité:
- Je demande le passage aux 35h , puisque légalement je cumule plus de 7 semaine à 36h pour un temps partiel 30 heures.
- Je demande aussi mes documents légaux auxquels j'ai droit et que je n'ai jamais eu depuis 2019
- Je demande mes CP manquants.

Tout ceci étant un retour sur le reccomander reçu de mon ancien employeur qui refuse mes droits légaux.bref

A mon sens, Il s'agit-là de fausses accusations visant à me nuire volontairement, de calomnie, et d'abus de confiance d'une personne en détresse émotionnelle, des faits répréhensible qui m'ont fait perdre mon travail parce que je demande mes droits.

Est-ce que je suis dans mon droit pour déposer une plainte contre mon employeur au pénal? Et aussi contre la personne qui m'a accusé de façon malhonnête au pénal pour le préjudice subi?

Sachant que j'engage déjà un prudhomme contre mon employeur pour licenciement abusif.
Merci de vos réponses