Mon épouse a fait une demande de
divorce par consentement mutuel en date du 16 novembre 2020 auprès de son avocate qui m'a confirmé sa visite et invité à prendre contact avec l'un de ses confrère.
J'ai donc contacté un avocat qui m'a donné un rendez-vous le 8 décembre pour une consultation.
J'ai reçu de sa part toutes les informations de cette procédure et ses conséquences. Tous les documents nécessaires sur le plan état civil et sur le plan financier lui ont été fournis. En date du 18 décembre j'ai reconsulté mon avocat. Il n'avait pu à cette date obtenir d'éléments de sa cons?ur permettant l'avancement du dossier. De mon côté je l'ai informé avec un accord signé de mon épouse que je quittais le foyer conjugal et sa maison pour emménager le 21 décembre une location afin de me rapprocher en Touraine auprès de mes enfants. A l'issue de cette consultation nous avions conclu alors que le dossier était en suspend.
Mon avocat en date du 14 Janvier 2021 m'a confirmé la reprise du dossier ayant eu des informations de sa cons?ur. Faisant part du montant de la prestation compensatoire demandée par mon épouse, je considère aux vues des ressources et surtout des biens qu'elle possède, que ce montant est trop élevé. Je vous adresse ce mail pour savoir si il est possible que mon avocat puisse agir et me défendre pour revoir et reconsidérer ce qu'il qualifie d'éventuelle prestation compensatoire.
Un accord à la baisse de cette prestation compensatoire est-elle envisageable et discutable. J'attend de vos conseils. Bien cordialement.