Bonjour, mon compagnon est exactement dans la même situation. Il a voulut porter plainte mais la gendarmerie lui a répondu qu'il n'y pas de motif à plainte. Il y a préjudice morale et harcèlement psychologique. Il va faire appel devant le jaf. de plus elle oses réclamer une pension alimentaire alors qu'il est invalidité et ne touche presque rien. La ils ont pris sa plainte à elle.
il y a 6 ans
Bjr Maria
Bien-venus dans le Club des divorces "difficiles"
Je sais que mon propos peut risque de choquer bon nombre de Juristes, Avocats, Barreaux, Procureurs comme Magistrats.
Il y a le "droit" et ce "qu'on en fait". Je ne l'avais jamais compris tant que je ne l'avais pas vécus à mes dépends.
Mon Avocat actuel, lors de notre premier rdv, à eu le droit à ma colère, je me suis fâché - oh grands dieux, j'ai osé - et lui ai expliqué que le "droit" doit être impérativement associé "aux devoirs, aux obligations" et que les "mensonges, allégations, propos calomnieux et, à plus forte raisons, attestations mensongères et calomnieuses versées au dossier, relèvent du "parjure produit en Justice" !
Les avocats, représentant leurs Clients, cherchent à gagner "leur affaire" .. c'est leur Business ..
Que font les Juges ?
Que font les Procureurs ?
C'est sur ce point que j'ai un réel problème avec les représentants de la Justice
Je crains qu'ils regardent ces situations de loin, ou que cela fait partie de la règle du jeu, ou que... que sais-je, je ne suis pas dans leurs têtes..lls laissent filer et c'est vrai, tellement ils ont de travail
Cependant, "laisser filer" répond t-il a une réalité de Justice ?
Je crains sincèrement que cela soit non productif à court terme comme à moyen et à long terme.
Certaines procédures sont tellement surchargées qu'elles en deviennent compliquées, voire indécentes, horriblement tordues et longues..
La faute à qui ?
J'attends le Jour où toute personne qui mentira en Justice - quelque soit la nature du mensonge, de l'allégation, de l'approximation - soit de facto condamnée immédiatement : aussi bien le Client ou la Cliente comme son Avocat ou Avocate qui aura colporté, répété des propos non fondés, non prouvés. ET que cette mesure devienne une règle, avec toute l'intransigeance de la Loi, appliquée dans tous les tribunaux, Correctionnels, Affaires Familiales, Trbunaux des Enfants mais aussi affaires civiles, financières, .. partout.
1° Avantages :
- ne verser aux dossiers que des éléments avérés, prouvés : moins d'aller / retour, simplification des procédures, traitement des affaires par les Tribunaux plus rapide...
- gain de temps
- diminution de la fatigue
- plus de disponibilité pour traiter les dossiers difficiles
- efficacité accrue
- réfutant le terme de "meilleure rentabilité" dans ce domaine, il faut quand même envisager l'aspect de réduction des coûts (qui ne doit pas être des moindres dans cette configuration .. tout au bénéfice de l’État ! .. et donc aussi du Citoyen (qui paye des impôts)
- du courage, de la volonté pour rendre la Justice : une décision Juste, Équilibrée, Équitable, Humaine
- ET surtout, un retour au RESPECT de l'INSTITUTION
2°) Inconvénients
- ah oui, ... il y en a qui risquent de pleurer - mais comme ce sont des personnes intelligentes, je ne doute pas qu'elles pourront se réorienter pour conserver leur niveau de vie
EN attendant :
- les avocats font leur job, et argumentent donc sur la base du "droit", c'est à dire de la possibilité de demander tel ou tel "bénéfice", même si, au regard des situations, au cas par cas, cela peut paraître lamentable, révoltant, voir pis... [ Note * - exemple ]
- les Juges, "travaillent" sous la pression de la charge qui s'accumule bien souvent avec peu de moyens,
- les "appelants / appelés" font aussi les frais du manque de disponibilité de leurs Juges qui, en plus, se retrouvent en situation de changements, mutations, etc .. donc encore une "nouvelle tête" qui "prend' ce dossier
[ Note * - exemple:
- pour l'un : garde de l'enfant, pension alimentaire à son bénéfice, et ultérieurement, déménagement avec éloignement volontaire + promotion...
- pour l'autre : pension alimentaire à verser, prestation compensatoire mais aussi les dettes issues du couple (résultant de la gestion du 1er), frais de voyages de l'enfant, gestion des différents procès et dossiers vis-à-vis des créanciers, vente de la maison, etc... ]
En attendant,
- les avocats demandent avec cet art de la dialectique, que cela passe pour un "dû" (à devoir)
- la partie opposée, essaye de lutter en défendant son "bon droit",
- et ça traine, et ça coûte, et c'est épuisant,; démoralisant, destructeur...
Car depuis longtemps, notre Justice ne fait plus face à ce qui doit être un "mieux" mais qui devient un "pire" tant on oublie de citer au regard des "droits", les "devoirs et obligations" qui vont avec.
Lors du Mariage, le Maire (ou son représentant) au Nom de la République, lit publiquement un ensemble de textes faisant état des "droits" et "devoirs" des époux, à plus forte raison quand il sont ou vont devenir "parents"
Lors des procédures de divorces, les avocats ne soulèvent plus que des "droits"..
Le Juge dans ses décisions rappellent aussi les "devoirs", tout particulièrement en matière de l'exercice e l'autorité parentale quand il y a des enfants ..
Mais ensuite, est-ce du Pénal ou pas ?
En allant porter plainte pour une nième infraction à l'autorité parentale, je me suis fait "jeter" - j'ai obtempéré - d'un Commissariat car j'insistais ... Ce n'est que lorsque je me suis retrouvé dans un autre Commissariat dépendant de ma juridiction que j'ai découvert que les Services Judiciaires PN comme GN ne prennent en charge que les plaintes car elles sont du ressort du "pénal"
Face à de telles situations, la Justice dans son fonctionnement actuel a malheureusement encore de beaux jours devant elle.
A nous de la pousser à aller de l'avant pour construire positivement une Société plus équilibrée.
Je n'ai pas répondu à votre interrogation directement et je ne veux surtout pas vous décourager, bien au contraire !
Par contre, je me fais obligation désormais de fournir des repères de fonctionnement existants afin d'éviter d'en faire les frais..
Bon courage
D.
il y a 6 ans
Bonjour à tous
Je suis dans une situation similaire où mon ex fait tout pour me priver de mes enfants. Contacts limités, dénigrement, pas de communication sur les activités extra scolaire, inscription des enfants au privé, les soins médicaux... Dernière chose en date, mon ex s'est permis d'appeler le psychologue de ma fille pour faire annuler le RDV prétextant qu'il y avait déjà un suivi alors que j'en ai aucune information.
Bref un calvaire.
Mon avocat m'a dit dernièrement: "S'agissant du dépôt de plainte, il n'aboutira pas en effet, et le fait de ne pas respecter les modalités de l'autorité parentale n'est pas une infraction pénale, de même que l'absence de communication entre les parents."
Donc je ne suis pas soutenu de ce côté là. Erreur ou pas?
Merci pour vos réponses.
il y a 6 ans
comme je vous comprends ......nous n avons que des devoirs et aucun droit c est aberant ...la séparation est une chose mais que l autre conjoint puisse tout se permettre c est juste horrible
il y a 5 ans
Bonjour,
Ah que j'eusse aimé connaître de telles références, il y a bien longtemps déjà, concernant l’exercice de l'autorité parentale conjointe permettant de favoriser la co-parentalité, la co-éducation... surtout quand elle fait totalement défaut.
Je viens de faire le constat que mon fils n'est plus dans le Collège ou, a priori, il devait s'y trouver, (le même que l'année scolaire passée, la classe suivante..).
Mon avocat.... me renvoi gentiment vers des recherches internet...
Ayant un Collègue qui a drôlement galéré, compte tenu de tous les coups tordus que lui a fait son ex..., j'ai obtenu quelques articles :
LA PRESOMPTION D’ENTENTE entre les parents est une évidence pour tous les actes de la vie courante concernant leurs enfants : ce sont en général, les cas ''usuels"
Parfois, pour certains cas, hospitalisation importante par exemple, le médecin ou la structure hospitalière demande aux 2 parents d'être présents (et pour cause, ils ont parfois réellement intérêt à se protéger au cas où un accident surviendrait : cet exemple peut entrer dans les cas "non usuels''
Quid quand nous sommes séparés, divorcés... ?
LA PRESOMPTION D’ENTENTE PERDURE…
Et ? Celui qui a la garde, peut faire ce que vous ne souhaitez pas pour votre enfant.
Il faut donc faire cesser, chez les tiers, LA PRESOMPTION D’ENTENTE.
Depuis la séparation en 2013, Madame fait ce qu'elle VEUT et moi je courre derrière en permanence. Cette fois-ci, bien que le cycle ne soit pas terminé, il y a eu changement de Collège. Je ne sais même s'il y a eu changement de domicile ... ou y aurait-il changement en perspective ? Je n'en sais rien.
D'où les recherche …
D'après mes lectures sur ce site, cela peut-il intéresser ? A vérifier cependant, je ne suis pas juriste : pertinence et surtout, que cela soit suivi ‘’d'effet’’.
Pour ma part, je suis en situation d'expérimentation.... les Courriers en Recommandé avec Avis de réception ne sont partis qu'hier...
APPLICATION DE l’Article 372-2 du code Civil
EN complément, et suivant les situations, Art 371 à 373 et connexes dont 371-1 ; 371-2 ; 373-2 ...
L'autorité parentale, les actes usuels et non usuels: c'est quoi, et à quoi ça sert lorsqu'on n'a pas la garde de l'enfant ?
[Pour mon cas, ‘’exercice du droit de visite’’ - périodes de vacances désormais compte tenu de la distance entre nos deux domiciles.]
Exemple de courrier issu de celui qui m'a été communiqué :
« Je m’adresse à vous en qualité de mère/père et titulaire de l’autorité parentale sur l’enfant NON Prénom, né le jj mois année (à lieu – YY département). Sa mère/son père est Madame/Monsieur X, née/né le jj mois année à Commune, département, Pays ; elle/il est aussi titulaire de l’autorité parentale. Notre enfant Prénom a été scolarisé dans votre établissement depuis son entrée en... jusqu’à ...
« Le présent courrier a pour objet de vous indiquer que vous devez désormais considérer que Madame/Monsieur X, mère/père de l’enfant, agirait sans mon accord si elle/il prenait une décision relative aux actes usuels de l’autorité parentale.
« En conséquence, vous devez considérer conformément à l’art. 372-2 du Code civil, qu’il n’existe PAS de présomption d’accord entre Madame/Monsieur X et moi-même en ce qui concerne les actes usuels de l’autorité parentale. »
[Il n'est pas interdit d'être plus aimable, arrondir les angles ... justifier raisonnablement une telle décision.
Pour ma part, j'ai toujours considéré, jusqu'à ce dernier lundi, totalement abject de ne pas être capable de nous entendre, déjà dans l'intérêt de notre enfant. Mais comme disait ma Maman : 'trop Bon, Trop ...'' (sic!) - j'ai donc perdu quelques longues années]
« Combien même il m'est difficile d'en arriver à ce point, il m'est nécessaire d'agir dans ce sens afin de continuer à participer ... à l'éducation de mon fils/ma fille etc...
Parfois, il peut être nécessaire de rappeler à l'interlocuteur ses obligations légales :...
« Je vous rappelle enfin que votre établissement engagerait sa responsabilité si vous passiez outre à ma demande légitime et qui a pour unique but de veiller à l'intérêt de mon enfant comme la loi m'en confie la responsabilité. »
Ce que je crains, depuis lundi, je risque d'avoir un nombre certain de Courriers (en recommandé avec AR) à envoyer ... Cet exercice doit être fait pour tous les domaines de la vie courante.
Dommage d'avoir perdu autant de temps…
Mais souhaitons que cela puisse éviter, une fois encore, un procès de plus….
Si vous avez d'autres solutions, j'aimerais les partager : du moment où elles permettent de maintenir les liens, l'amour, l'entente, ... je n'ai rien contre une bonne efficacité.
Et, bien que ce site appartienne à des Juristes, je leur saurais gré de bien vouloir me signaler si les articles auxquels il est fait référence, ont du sens ou pas (une réelle portée). Recherchant une saine efficacité, j’apprécierai sans aucun doute un bon conseil… merci d’avance.
Bonne lecture
Bon courage...
il y a 5 ans