Bonjour;
mon ex compagne a quitté le domicile le 8 novembre 2013 avec la complicite de ses parents en emmenant notre fils. depuis ce jour, je n'ai plus aucun droit sur mon fils sous pretexte que j'ai été hospitalisé pour depression suite a cette fuite et surtout a la privation de mon fils. j'en suis a ma troisieme requête et toujours rien en ma faveur. mon ex et ses parents font tout pour s'approprier mon fils et couper tout lien avec moi.je soupçonne une entente entre l'avocat de la partie adverse et les parents afin de me priver totalement de mon fils et de ce fait en priver ma mère et le reste de ma famille également. que dois je faire?
il y a 9 ans
Bonjour,
L'important dans votre situation est de démontrer que votre état de santé a évolué positivement depuis 2013 et, notamment, que vous bénéficiez d'un suivi médical en suite de votre dépression. Si vous êtes en mesure de démontrer que votre fils ne court aucun danger en votre compagnie et qu'aucune cause grave ne justifie que vous en soyez privé plus longtemps, vous pouvez solliciter la mise en oeuvre d'un droit de visite et d'hébergement progressif ( ce qui aura aussi le mérite de rassurer la mère). Si vous aviez un avocat lors du dépôt de vos précédentes requêtes, n'hésitez pas à lui en parler.
Cordialement
il y a 9 ans
Bonjour, mon ex mari passe son temps à m'insulter au téléphone dès qu'il en a l'occasion. Il laisse également des messages injurieux et menaçants pour lesquels j'ai déposé plainte. Depuis deux ans, rien de bouge.... "Dossier en enquête" selon le parquet. J'ai donc résilié mes lignes de téléphone. Je donne des nouvelles de notre enfant toutes les semaines dans un cybercafé par mail ou encore par courrier avec envoi de photos, en plus du droit de visite. Il se plaint de ne plus pouvoir parler au téléphone avec notre enfant. La loi m'oblige-t-elle à avoir le téléphone ? J'ai acheté un téléphone à notre enfant puisque son père refusait de lui en fournir un pour faire valoir son droit à la correspondance (qui n'existe dans aucun jugement). Malheureusement, cela continue : "Tu diras à la mère que...." ou encore "Ta mère est ceci, ta mère est cela". Que faire ? Moi je ne souhaite vraiment pas entretenir ce genre de monologue avec lui, écouter ses insultes de gré ou de force m'épuise. Et ce n'est pas pénible que pour moi, ça l'est aussi pour celui qui hélas devient le messager de sa haine...
il y a 9 ans
Bonjour,
La loi ne vous oblige nullement à avoir un téléphone, simplement à tenir l'autre parent informé de l'évolution de votre enfant et des mesures prises dans son intérêt et de respecter le droit qui lui a été accordé.
Pour le reste, il convient de vous protéger de ses agressions et d'éviter que votre enfant serve d'intermédiaire.
Si vous sentez à un moment donné que cela perturbe votre enfant dans des proportions importantes et que vous pouvez justifier de ces perturbations alors sans doute faudra-t-il envisager de solliciter la suspension du droit de visite du père.
En fonction de l'âge de votre enfant il peut aussi être envisagé de solliciter son audition pour qu'il s'exprime directement et personnellement sur ce qu'il vit et ressent.
Cordialement
il y a 9 ans
Merci pour votre réponse.
il y a 9 ans