Bonjour, j'ai engagé une procédure de divorce pour faute à l'encontre de mon époux. Lors de l'audience de conciliation, le jaf a conseillé celui-ci de prendre un avocat, mais il ne l'entend pas. J'ai obtenu l'ordonnance de non-conciliation il y a quelques temps et à la dernière audience qui a eu lieu récemment (juste après l'audience de conciliation, une mise au point du juge), mon avocat a demandé au juge de prononcer le
divorce. Ayant connaissance de cette date et comprenant donc que le juge accepte de prononcer le divorce, je voulais savoir si les devoirs et obligations liés au mariage étaient maintenus lorsque les époux n'ont judiciairement aucun droit de contact suite à une décision pénale. En effet, les futurs ex-époux se doivent de respecter les devoirs se rapportant au mariage (assistance, solidarité, fidélité,...) car étant légalement toujours mariés, existe t-il des exceptions ? Si ce n'est pas le cas, l'un des manquements à ces devoirs jouera t-il en notre défaveur dans le cadre d'un divorce contentieux (bien que l'adversaire n'ait pas pris d'avocat) ?
Quels sont les comportements à éviter ? Est-il encore temps pour la partie adverse de se constituer un avocat ? Je vous remercie d'avance pour toutes vos réponses