Bonjour,
Le 21 septembre 2015, j'ai demandé l'aide de la gendarmerie pour échapper à une agression conjointe de mon
épouse et de sa fille. Les gendarmes ont constaté la détention par ces dernières de shocker. L'agression était constitutive à la découverte que ses dernière avaient tentée de m'empoisonner à 2 reprises en juillet et août, la seconde fois avec 10 jours de semi-coma démuni de tous moyens de communication pour demander un médecin.
Sur le conseil de mon avocate, Je me suis donc rendu à la Gendarmerie pour déposer une plainte pour ces faits.
Le gendarme qui m'a ouvert a formellement refusé de prendre ma plainte ni même une main courante. J'apprends que les Gendarmes n'auraient pas ce pouvoir, ils auraient du prendre ma plainte et que c'est au procureur de décider de la suite. Est-ce vrai ?
En complément, j'ai déposé plainte le 8 septembre précédent pour usurpation d'identité en ignorant que les auteurs étaient mon épouse et sa fille. J'ai demandé par la suite le divorce, le divorce pour faute m'étant refusé parce que cela n'existe plus, j'ai du accepter un
divorce par consentement mutuel. Suis-je berné par mon avocat ?
Merci de vos réponses