Plusieurs années de vie commune
Un enfant qui a cinq ans maintenant qui est pris en otage par la maman, un enfant qui est très attaché au papa. Syndrome classique de Medée ou syndrome d’aliénation parentale, entité médicale et juridique qui n’est pas reconnue en France.
Le papa a été mis à la porte en plein hiver sans aucun préavis, alors qu’il payait toutes les charges du logement de fonction de Madame. En plus, il y avait une attestation comme quoi il était colocataire de droit.
Bien évidemment, les autorités n’ont rien fait.
La maman confisque un pistolet légalement obtenu et le donne plusieurs mois après, en le jetant dans un sac à main dans la rue avec d’autres affaires, au sein d’un pôle de psychiatrie où il y avait le logement de fonction.
Aussi, la mère jette dans la rue des ordonnances sécurisées vierges du papa, qui est médecin, dans le même pole de psychiatrie dans le but de lui créer des ennuis (possibilité de prescrire des stupéfiants sur ces ordonnances). Heureusement, il le récupère à temps mais plusieurs heures après avoir été jetées dans un endroit visible à côté d’une allée ou les patients psychiatriques se promenait.
Un mois après avoir été mis dans la rue en plein hiver, la maman porte plainte contre le papa pour des choses ridicules: alcoolisme, toxicomanie, détention d’armes « en grand nombre » sans avoir le permis, atteinte à la vie privée, réception des colis secrets?, violences conjugales physique et psychologiques etc., puis la plainte est classée sans suite trois semaines après, le papa se retourne contre la maman mais bien évidemment que ça ne se passe rien du tout alors que la maman a avoué devant l’officier de police judiciaire qu’elle a agressé physiquement le papa. En plus, les policiers ont refusé au départ de prendre la plainte du papa, pour dénonciation calomnieuse et délit imaginaire sous le prétexte que si ça a été classée sans suite ça ne veut pas dire que le papa est innocent.
La maman, qui est médecin psychiatre et Expert Judiciaire près du tribunal ou l’affaire est jugée, fait du pressing auprès d’une ancienne patiente et amie, hospitalisé sans consentement pour une dépression grave et des idées suicidaires, sur son service, toujours en dépression, de faire un faux témoignage contre le papa. L’affaire n’aboutit pas, l’époux de la personne en dépression se rends compte de l’arnaque et refuse. La maman essaye et arrive à persuader plusieurs personnes de faire une attestation collective mensongère pour des insultes à la personne y compris pour des faits antérieurs, où ils étaient pas présents, mais qu’elle ne met pas au dossier.
La maman, médecin psychiatre Expert Judiciaire, fait venir sa mère biologique pour s’occuper d’un enfant de bas âge. La grand-mère maternelle, ayant des maladies physiques et psychiques, dont un syndrome anxio dépressif qui traîne depuis des années, s’occupe dans la journée et la nuit car la maman est de garde pendant 24 heures voir plus. En plus, la grand-mère maternelle touche une allocation aux adultes handicapés pour des troubles psychiatriques et en plus elle est rattachée au foyer fiscal de sa fille, ayant un handicap psychiatrique de au moins 80 % . Il y a une suspicion que la fille, médecin psychiatre, avait falsifié le dossier de handicap de sa maman, ayant des bénéfices fiscaux (la fille) par rapport à ça.
Le juge aux affaires familiales ne veut rien entendre, il laisse la résidence de l’enfant chez la maman et en plus il enlève l’autorité parentale au papa en se basant sur la requête mensongère de la partie adverse, ne laissant pas l’occasion au papa de dire un mot sur les accusations.
Pour l’anecdote, la maman, médecin psychiatre et Expert Judiciaire au même Tribunal, en privé avant l’audience, appelle le juge sur son prénom, devant le papa. Il n’y a pas eu d’autres témoins, l’audience c’était visiblement une formalité, le papa n’a pas eu le droit de se défendre ou de parler comme la maman, perverse narcissique, qui a manipulé le juge en pleurant.
Entre autres, la maman change le médecin traitant de l’enfant, qui était le papa, dans un désert médical où elle trouve un médecin qui n’est presque jamais là, qui est impliqué dans plusieurs projets et qui ne travaille que très peu d’heures par jour que quatre jours par semaine et qui laisse les internes s’occuper du cabinet. En plus de ça, le papa fixe un rendez-vous chez un médecin spécialiste et la maman ne donne pas son accord et ne confirme pas le rendez-vous et quand le spécialiste propose d’aller plus loin, dans un centre hospitalier universitaire pour faire opérer l’enfant la maman se rend avec l’enfant au rendez-vous et avec la grande-mere, bloque les appels du papa, ne le laisse pas y être présent à la consultation et décide toute seule avec le chirurgien les détails d’une intervention sous anesthésie générale. L’avocat du papa dit qu’il ne peut rien faire
En plus, pendant trois mois, la maman qui s’est fâchée avec la grand-mère maternelle a fait venir d’un autre pays une personne de 60 ans pour travailler au noir chez elle en tant que aide ménagère et assistante maternelle 24 heures sur 24 et sept jours sur sept, une personne qui ne parle aucun mot de français, avec des pathologies cardiaques sans aucun suivi en France, qui aime boire, en passant pour une amie. Il y a un rapport d’un détective privé qui a frappé à la porte et qui a trouvé cette personne au domicile et qui prouve qu’elle ne peut pas se débrouiller en cas d’urgence, le détective avait bien prouvé ça. Trois mois après, la maman s’est réconcilié avec la grand-mère maternelle qui est revenue à la maison et l’assistante maternelle non agréée qui travaillait au noir est repartie dans son pays.
Aussi, le même détective, a prouvé que la maman aime bien la vitesse et roule à 160 km à l’heure par temps de pluie sur une autoroute très chargée avec l’enfant dans la voiture.
En plus de ça, la maman a menti par omission lors de l’enquête sociale en cachant sa profession de Expert Judiciaire, profession bien connu par l’enquêtrice, qui a avoué au papa qu’elle connaissait la maman, mais qu’elle a rien marqué dans le rapport.
Cerise sur le gâteau, la maman apporte des faux plannings de garde de 24 heures à l’hôpital le jour de l’audience (avec moins de gardes qu’elle fait en réalité).
La deuxième cerise sur le gâteau, le juge des affaires familiales refuse de prendre la clé USB du papa, avec les preuves vidéo de mise en danger de l’enfant (conduite avec une seule main sur l’autoroute en se servant de l’autre main pour filmer l’enfant non attaché dans son siège auto, restant libre dans les bras de la grand-mère maternelle, qui avait la ceinture).
Troisième cerise sur le gâteau, le papa demande au juge des affaires familiales de lui permettre de lui faire parvenir des documents en délibéré. Le juge ne répond pas.
Le papa a écrit avec accusé de réception au juge aux affaires familiales pour lui demander gentiment de lui permettre d’envoyer une note en délibéré avec des preuves de mise en danger de l’enfant. L’avocat de la partie adverse reçoit la même sollicitation envoyé au juge, dans le respect du principe du contradictoire. Le juge ne répond jamais.
Le papa est sorti de l’audience avec le sentiment qu’il a fait acte de présence et il s’interroge toujours si la maman, Expert Judiciaire au même tribunal, connais et appelle vraiment sur le prénom le juge ou c’est juste un jeu psychologique. Le conseil du papa, au lieu de demander un dépaysement, dit que ça va pas l’aider, même si elle est Expert Judiciaire au même Tribunal.
Plusieurs avocats disent qu’il y’a rien à faire, que l’appel au JAF, ils ne veulent pas se mêler. Quand le juge demandait la maman ce qu’il y avait comme troubles pour l’handicap de la grand-mère maternelle, la maman, Expert Judiciaire, a répondu en regardant le juge dans les yeux : »troubles anxio-dépressifs mineurs, mais ma mère est en suivi, elle a un traitement très léger ». Le juge n’a pas demandé des explications complémentaires ou des preuves, n’a pas ordonné une enquête sociale ou un complément d’enquête et note dans la minute que le papa avait signalé un handicap de 80 %. Même si c’était un handicap physique, à 80 %, si c’est pour de vrai, il est impossible de s’occuper d’un enfant de bas âge, surtout quand on ne parle pas du tout la langue du pays d’intégration (pour appeler le SAMU en cas d’urgence, par exemple). D’autant plus pour un handicap d’origine psychiatrique, à 80 % , il est évident que c’est incompatible, si c’est pour de vrai, avec la fonction d’assistante maternelle. Erreur manifeste d’appréciation de la part d’un juge qui a été bien renseigné mais qui a refusé d’appliquer la loi. Enquête sociale faite à la charge du papa, au mépris du principe du contradictoire, que avec des faux témoins.
L’enquêtrice sociale a rajouté des soi disant dires d’une assistante sociale qui a fait parvenir un compte rendu au papa où il y a marqué nulle part qu’il a fait obstacle. Une belle preuve de manque de déontologie, de manque de respect du principe du contradictoire parce que le papa n’a été jamais confronté, il a été juste mis devant le fait accomplit quand il a eu le rapport. Plusieurs avocats, y compris des pénalistes, disent qu’ils ne peuvent rien faire et que ça va porter préjudice au père devant le juge d’affaires familiales en appel parce que ça va laisser l’impression que le papa est dans le conflit et qu’il veut créer des problèmes à la mère, alors que c’est elle-même qui s’est créé ses propres problèmes de nature pénale, ayant visiblement des troubles de la personnalité qui la rendent audacieuse, pour rester poli.
La maman n’est pas joignable depuis plusieurs années mais quand ils sont en présence de l’enfant, ils arrivent à rester civilisés, sauf que quand l’enfant s’éloigne la maman insulte le papa et change de mine, bien entendu jamais en présence des témoins. Quand il y a des témoins femmes, la maman adopte perversement une posture de soumise, presque effrayée. De ce fait, les amies de la maman font facilement des attestations mensongères à la charge du papa pour des diverses raisons, des personnes avec qui le papa n'a jamais échangé un mot.
Pendant les années de vie commune, le papa a soupçonné que la maman avait des troubles bipolaires ultra-rapides ainsi que au moins des troubles de la personnalité borderline, dû à une enfance très dure, du au violences psychologiques et probablement physiques de la part de son papa qui était alcoolique qui rentrait ivre le soir et qui battait régulièrement son épouse devant les enfants, actuellement la grand-mère maternelle qui s’occupe de l’enfant. Le papa observe des signes qui relèvent de la psychiatrie, notamment un syndrome de Munchhausen par procuration chez la maman, car l'enfant tombe malade que quand il est chez le papa un week-end sur deux. Quand il est malade chez la maman, tout est secret, y compris les visites chez des divers médecins, n'oublions pas le désert médical et que le nouveau médecin traitant n'est pas très disponible donc la mère se débrouille en attendant plusieurs jours ou en passant plusieurs heures aux Urgences, au lieu de appeler le papa, médecin, qui habite à 5 minutes en voiture. Le papa est abasourdi de cette absurdité.
La maman est le seul expert psychiatre du département, elle fait majoritairement des expertises psychiatriques pour la cour d’assises pour des cas des viols, pédophilie, meurtre. En plus, c’est une ancienne chef de service des urgences psychiatriques et la future chef de pôle, à la tête de la santé mentale du département. Une psychiatre qui a fait usage de ses pouvoirs pour inciter une ancienne patiente avec des troubles dépressifs sévères et des idées suicidaires de faire un faux témoignage par rapport à des violences verbales. C’est marrant, non?
On ne parle plus des week-ends quand la maman est partie tout simplement avec l'enfant alors que le papa avait un droit de visite, en lui écrivant par email qu'elle n'a pas fait attention à la date mais que ça ne va pas être possible de reporter ces visites care elle avait des choses prévues à des dates ultérieures.
Et si on rajoute que la maman met son parfum sur l'enfant quand elle le donne au papa, ça fait quoi? Marquage du territoire? Psychopathologie?
Et si on rajoute que la maman avait refusé à ce que l'enfant porte le nom du papa aussi, ça fait encore plus intéressant?
Un des avocats consultés par le papa lui dit qu'il n'a aucune chance à la garde alternée si la maman ne voulait pas, car le juge ne va pas déraciner un enfant si les parents sont en conflit, ce qui me semble évident. Un autre avocat de Paris, qui fait que du droit de la famille, qui demande des honoraires de 30 000 euros lui dit qu'elle peut tenter mais que ce n'est pas sûr que ça va aboutir, que les enfants en France restent à la maman, du Nord au Sud.
Entre autres, jusqu'à la preuve contraire, l'enfant est laissé seul la nuit même pendant plus de 24 heures avec une personne reconnue officiellement comme ayant un handicap psy à 80%, les avocats disent qu'il n'y a rien à faire, mais d'attendre l'appel.
Au vu de ces éléments, un des détectives privés contacté demande si la maman n’est pas franc-maçonne car, apparemment de ce fait, intouchable. Quand il entends ça, le papa est stupéfait, il se dit que personne n’est au-dessus de la loi. Aucun des détectives privés et des entreprises de contre-enquête contractés ne veulent pas prendre le dossier, par peur de représailles ils refusent poliment faisant les débordés