Bonjour,
Je me sens piégé par la situation actuelle. Mon avocate fait preuve d'un manque de diligence et change souvent d'avis. Elle était convaincue que je pouvais gagner sur la recevabilité de mon dossier, mais elle vient de me dire que j'aurais dû accepter le jugement de première instance.
Maintenant, elle me dit qu'il faut faire un déféré, alors que l'arrêt de l'appel n'est même pas encore sorti. Après une heure, elle m'a envoyé un autre mail pour me rassurer, affirmant que l'appel apprécierait mon argumentation. J'ai l'impression qu'elle me manipule.
Elle ne m'a jamais confirmé, comme vous me l'avez conseillé, qu'une fois le dossier passé en délibéré, je ne peux plus ajouter quoi que ce soit. À ce stade, existe-t-il une possibilité d'agir ? je peux écrire à la juge?
J'ai vraiment besoin d'aide, car cette affaire de
divorce devient de plus en plus complexe, d'autant plus qu'elle a été absente de l'audience de mise en état.
tous mes demandes concernant les demandes pour enfans ont été systématiquement écarté, laissant le terrain pour être attaqué par mon adversaire.
elle m a convaincu que c'est mal vu devant le juge de trop parler des enfants.
L'avocat de l'adversaire, qui était présent, a soutenu que mes motivations étaient liées à un désir de vengeance, alors que mes demandes concernent principalement le bien-être de mes enfants que mon avocate. Tous mes écrits sont centrés sur cette question, mais mon avocate a minimisé leur importance dans la documentation. il a utilisé aussi un arret obsoléte parlant d'appel général que mon avocate a utilisé qui est :
" un arrêt de la Cour d'appel d'Agen du 24 septembre 2015 au travers de la notion d'« appel général » sur les textes qui ne sont plus applicables à la procédure d'appel, puisque trois décrets en des 6 et 10 mai 2017 ont considérablement modifié les règles de la procédure civile, en particulier celle de la procédure d'appel : l'appel général disparait et la déclaration d'appel ,doit préciser « à peine de nullité » les chefs de jugement réfléchis. A toutes fins utiles, il est également attiré votre attention sur le fait qu'en page 3 de cet arrêt d'appel que « Mme M n'a pas acquiescé en première instance à la demande en divorce pour modification du lien conjugal ».
J'ai informé la juge que c'est moi qui fais des recherches d'arrêts et de lois, et qu'elle ne fait rien.
Merci d'avance pour votre aide.