Au bout de 44 ans de vie commune, dont 42 ans mariés, j'ai fui le domicile familial le 17/07/2024, hébergée par petits-enfants. Procédure de
divorce en cours. Nous en sommes aux conclusions de fixation. Monsieur m'a harcelée, épiée, insultée, menacée jusque dans l'interphone où j'habite depuis le 20/11/24. Il vient jusque sur mon parking. Plusieurs dépôts de plainte auprès de la gendarmerie,avec photos des coups reçus en 2022, 2023. Signalé les menaces de destruction envers mes trois filles de mon premier mariage et de leurs enfants. Notre fils en commun, toujours sous l'emprise de son géniteur me rejette et m'interdit de voir sa fille de 12 ans que j'ai élevée en majeure partie. Mon fils a été battu, étranglé, humilié, dévalorisé mais il est dans le déni. Mon ex conjoint a supprimé mon compte email à partir de l'ordinateur de la maison après avoir pris connaissance de tous mes échanges depuis ma fuite. Échanges avec tous les professionnels : psy, juriste, assistante sociale de France victimes 54, mon avocat, la Maison des Solidarités, toutes les aides, intervenante sociale auprès de gendarmerie, avec mes enfants etc. Toutes les relations puisque je n'avais que mon téléphone pour tous les échanges depuis juillet 24. Mon téléphone piraté en même temps que la suppression de mon compte mail : je ne peux pas savoir si c'est lui qui a pu piraté mon téléphone. J'ai demandé à mon avocat si je devais porter plainte pour cette ingérence dans ma vie privée. Sa réponse : je peux bien sûr "porter plainte mais ce sera difficile d'apporter des preuves..." et l'avocat a hâte que ce "divorce calamiteux"(sic) soit prononcé pour mon bien. De ce côté je suis d'accord pour que ce divorce soit prononcé rapidement.
Parallèlement il y a suspicion sur ma personne d'empoisonnement chronique depuis des années de sa part (arsenic) vu les nombreux symptômes graves de toute la sphère de l'appareil digestif (plusieurs fois hospitalisée aux urgences de l'hôpital), il n'y a jamais eu de recherches en ce sens. Mais depuis 8 mois je n'ai plus jamais eu ses symptômes graves. La gendarmerie est informée puisque dans mon dépôt de plainte de juillet 24, figure cette suspicion de ma part et celle de mon médecin traitant. La gendarmerie aurait dû me prendre un rendez-vous à l'unité médico légale du Chru, en vain, j'attends depuis 8 mois. Or si je pouvais maintenant avoir un rendez-vous, je pense qu'il n'y aurait plus la possibilité de relever des traces. De plus je me suis fait couper les cheveux récemment, vu la perte importante. Donc cheveux devenus trop courts, je viens de me renseigner auprès du centre anti-poisons.
Mon ex-mari, me semble-t-il, est protégé. Son petit-fils (issu de son premier mariage est dans la police, gradé, sa conjointe dans la gendarmerie meilleure amie de la gendarme qui a transcrit ma plainte d' octobre 2023.
J'avais découvert par hasard en2013, dans l'historique de son ordinateur portable, beaucoup de sites de pédophilie qu'il consultait. Les gendarmes ont été informés début août 2024 lors de l'audition d'une de mes petites-filles, les gendarmes devaient l'interpeller et prendre possession de son ordinateur portable. Rien n'a été fait. Il na jamais été interpellé. Maintenant, il m'accuse d'être partie avec cet ordinateur. Je suis partie sans rien, juste des papiers. Si j'avais pris son ordinateur portable, je l'aurais immédiatement remis aus services de la gendarmerie. Peut-être que dans ce cas, il aurait été auditionné !?
Ce n'est qu'un tout petit résumé de ce que j'ai vécu et de ce que je vis actuellement, je viens d'avoir 80 ans. Je vous remercie de m'avoir lue.
Respectueuses salutations.